Agé aujourd’hui de 72 ans, le secrétaire général de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) semble incarner la sagesse même s’il est sorti malheureux de la présidentielle de 2012. « A mon âge, je ne peux être ni ministre, ni premier ministre. Les gens de ma génération ne cherchent pas de poste. Je n’en veux pas. J’ai assumé toute sorte de fonction dans ce pays. Je ne veux pas me basculer avec les jeunes pour avoir un poste de ministre d’Etat ou de premier ministre », a éclairé Moustapha Niasse samedi dernier, en marge de la réunion du comité de pilotage des Assises Nationales.
Le soutien à l’endroit du candidat de Macky 2012 n’est pas fortuit et s’explique selon le patron de l’APR par un vœu de servir un Sénégal « détruit par les 12 ans de règne d’Abdoulaye Wade » et non par un intérêt personnel. « J’ai un boulot. Je suis un consultant des Nations Unies. Il revient aux jeunes de prendre des postes. Senghor m’a responsabilisé quand j’avais 27 ans. Ce n’est pas à 72 ans et 4 mois que je vais me disputer des postes dans un gouvernement. Je n’en ai pas besoin. J’ai fait ce que je devais faire », a assené dans les colonnes de « L’observateur », Moustapha Niasse qui réitère « il me reste à militer au service de mon pays jusqu’à la fin de ma vie ».
Le soutien à l’endroit du candidat de Macky 2012 n’est pas fortuit et s’explique selon le patron de l’APR par un vœu de servir un Sénégal « détruit par les 12 ans de règne d’Abdoulaye Wade » et non par un intérêt personnel. « J’ai un boulot. Je suis un consultant des Nations Unies. Il revient aux jeunes de prendre des postes. Senghor m’a responsabilisé quand j’avais 27 ans. Ce n’est pas à 72 ans et 4 mois que je vais me disputer des postes dans un gouvernement. Je n’en ai pas besoin. J’ai fait ce que je devais faire », a assené dans les colonnes de « L’observateur », Moustapha Niasse qui réitère « il me reste à militer au service de mon pays jusqu’à la fin de ma vie ».