Le Secrétaire général de l’Alliance des Forces de progrès ne se fie pas aux sondages divulgués ça et là au Sénégal. A l’en croire, il aurait la même foi même s’il avait été gâté par ces intentions de vote. Dans un entretien qu’il a accordé à notre confrère du journal «Le Populaire», l’enfant de Keur Madiabel a confié que certains sondages sont commandés. «Je vous assure que j’aurais été à la dixième place, ça ne m’aurait pas dérangé. Car l’homme ne dépend pas des sondages», a tenu à préciser Moustapha Niass qui ne met pas en avant les sondages du fait que c’est le peuple sénégalais qui va décider.
Le locataire de la Sicap sacré-cœur a aussi avoué que le différend entre le parti socialiste et le parti de l’indépendance et du travail était bien une réalité mais qui a connu un consensus. «On s’est réuni le jeudi pendant deux heures et tous les leaders étaient là (Ousmane Tanor Dieng et Ibrahima Sène)», a laissé entendre Niass qui ajoutye : «On a trouvé un consensus qui est d’arrêter la polémique».
Pour les futures échéances électorales, le chef de file de l’Alliance des forces de progrès a indiqué que si la coalition Bennoo Siggil Senegaal ne s’organise enb ficelant son unité, elle ne pourra pas triompher face à Me Abdoulaye Wade. Par contre, rappelle-t-il «si chaque leader de Bennoo prend conscience de cette exigence et de cette nécessité, qui est incontournable, à ce moment-là, la victoire est assurée».
Le locataire de la Sicap sacré-cœur a aussi avoué que le différend entre le parti socialiste et le parti de l’indépendance et du travail était bien une réalité mais qui a connu un consensus. «On s’est réuni le jeudi pendant deux heures et tous les leaders étaient là (Ousmane Tanor Dieng et Ibrahima Sène)», a laissé entendre Niass qui ajoutye : «On a trouvé un consensus qui est d’arrêter la polémique».
Pour les futures échéances électorales, le chef de file de l’Alliance des forces de progrès a indiqué que si la coalition Bennoo Siggil Senegaal ne s’organise enb ficelant son unité, elle ne pourra pas triompher face à Me Abdoulaye Wade. Par contre, rappelle-t-il «si chaque leader de Bennoo prend conscience de cette exigence et de cette nécessité, qui est incontournable, à ce moment-là, la victoire est assurée».