Afin de pallier l’éventuelle invalidation des candidatures d’Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye, les députés du Pastef ont parrainé Habib Sy, un troisième candidat surprise. Moustapha Sarré, membre de l’ex Pastef et directeur de l’école du parti Daaray Cheikh Anta, a révélé que le parrainage de Habib Sy par les députés du Pastef « ne fait l’objet d’aucune contestation au sein du parti ».
« Dans le parti, nous sommes des démocrates et nous savons que le mandat n’est pas impératif. Les députés sont libres de parrainer qui ils veulent. Habib Sy étant un allié de taille, les députés en toute indépendance ont parrainé le candidat qu'il est. Les militants l'acceptent avec beaucoup de joie d’ailleurs », a déclaré Moustapha Sarré sur la RFM.
D’après lui, Il n'y a aucun risque de révolte. « Pastef n’a jamais connu ce genre de situation parce que Pastef est une organisation démocratique qui marche selon ses textes et les responsables qui sont à la tête du parti en sont tellement conscients qu’ils n’osent pas marcher à contre-courant. Il n’y a pas de risque de contestation”, a-t-il fait savoir.
Malgré la dissolution du parti, l’ambition des responsables est d’élire leur leader Ousmane Sonko lors de la prochaine présidentielle.
« Le parti n’a qu’un seul objectif faire de Ousmane Sonko, c'est de faire de Ousmane Sonko le 5e président de la République au soir du 25 février 2024. Ousmane Sonko est toujours dans la course et partout où le droit sera dit, il aura gain de cause. Il n'y a aucune raison pour qu'il ne soit pas candidat en 2024 », a confié M. Sarré.
« Dans le parti, nous sommes des démocrates et nous savons que le mandat n’est pas impératif. Les députés sont libres de parrainer qui ils veulent. Habib Sy étant un allié de taille, les députés en toute indépendance ont parrainé le candidat qu'il est. Les militants l'acceptent avec beaucoup de joie d’ailleurs », a déclaré Moustapha Sarré sur la RFM.
D’après lui, Il n'y a aucun risque de révolte. « Pastef n’a jamais connu ce genre de situation parce que Pastef est une organisation démocratique qui marche selon ses textes et les responsables qui sont à la tête du parti en sont tellement conscients qu’ils n’osent pas marcher à contre-courant. Il n’y a pas de risque de contestation”, a-t-il fait savoir.
Malgré la dissolution du parti, l’ambition des responsables est d’élire leur leader Ousmane Sonko lors de la prochaine présidentielle.
« Le parti n’a qu’un seul objectif faire de Ousmane Sonko, c'est de faire de Ousmane Sonko le 5e président de la République au soir du 25 février 2024. Ousmane Sonko est toujours dans la course et partout où le droit sera dit, il aura gain de cause. Il n'y a aucune raison pour qu'il ne soit pas candidat en 2024 », a confié M. Sarré.