Les syndicats du moins ceux qui participent à l’atelier sur l’unité syndicale sont d’accord sur une chose, l’unité est une nécessité face à un gouvernement « qui divise pour mieux régner ». A l’ouverture de l’atelier les travailleurs ont dénoncé à l’unanimité la politique du gouvernement face aux syndicats consistant à les diviser pour pouvoir influer sur leurs actions.
« L’Etat divise pour mieux régner» a martelé le Secrétaire General de la Confédération des Syndicats Autonomes (CSA) Mamadou Diouf, il est revenu sur : « la nécessité de mettre sur pied un document de référence qui va servir de base à tous les mouvements syndicaux ». Il n’a pas manqué de préciser que : « pour éviter l’éclatement des organisations syndicales il faut que les structures soient plus démocratiques ».
Selon le Secrétaire Général de la Confédération National des Travailleurs du Sénégal Force du Changement (CNTS/FC) Cheikh Diop : «Le gouvernement avait donné une subvention aux mouvements syndicaux il y a de cela trois ans, cela a créé plus de problèmes que de solutions». Il a expliqué qu’ : « on a souvent l’impression que l’Etat confond centrales syndicales et organisations professionnelle », avant de révéler que : « pour les subventions l’Etat se permet de donner des enveloppes de 20 millions à certains mouvements syndicaux et 10 millions à d’autres ».
Tous les participants ont soutenus que les syndicalistes sont déterminés à aller de l’avant. Le besoin d’unité est obligatoire et ils ne se laisseront pas faire. Le mouvement syndical sénégalais veut s’inspirer des exemples des pays anglophones où on ne trouve d’habitude que deux organisations syndicales dans un pays.
Ibrahima DIABY
« L’Etat divise pour mieux régner» a martelé le Secrétaire General de la Confédération des Syndicats Autonomes (CSA) Mamadou Diouf, il est revenu sur : « la nécessité de mettre sur pied un document de référence qui va servir de base à tous les mouvements syndicaux ». Il n’a pas manqué de préciser que : « pour éviter l’éclatement des organisations syndicales il faut que les structures soient plus démocratiques ».
Selon le Secrétaire Général de la Confédération National des Travailleurs du Sénégal Force du Changement (CNTS/FC) Cheikh Diop : «Le gouvernement avait donné une subvention aux mouvements syndicaux il y a de cela trois ans, cela a créé plus de problèmes que de solutions». Il a expliqué qu’ : « on a souvent l’impression que l’Etat confond centrales syndicales et organisations professionnelle », avant de révéler que : « pour les subventions l’Etat se permet de donner des enveloppes de 20 millions à certains mouvements syndicaux et 10 millions à d’autres ».
Tous les participants ont soutenus que les syndicalistes sont déterminés à aller de l’avant. Le besoin d’unité est obligatoire et ils ne se laisseront pas faire. Le mouvement syndical sénégalais veut s’inspirer des exemples des pays anglophones où on ne trouve d’habitude que deux organisations syndicales dans un pays.
Ibrahima DIABY