La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) et le Syndicat national de Jornalistsas (SNJ) réclament justice après le passage à tabac de deux (2) journalistes au Mozambique.
Deux (2) journalistes du Mozambique Indépendamment Magazine hebdomadaire, journaliste et photographe Abanes Ndanda Antonio Nhangumbe, ont été attaqués, menacés et battus Mercredi 5 Juillet par les agents de sécurité du gouvernement de la province de Maputo. Abanes et Antonio ont été approchés par les agents de sécurité après avoir pris des photos de la façade du bâtiment du gouvernement provincial Maputo.
Selon un communiqué publié par le SNJ, la carte mémoire de l'appareil a été retirée et le contenu supprimé par les agents de sécurité. Les journalistes ont également été contraints de signer un document sans être autorisé à lire le contenu, lors de leur interrogatoire.
« Ces journalistes ne constituaient pas une forme de menace pour les agents de sécurité ou les fonctionnaires du gouvernement. Ils faisaient simplement leur travail. Ces actes d'intimidation et les menaces visent à tuer la vérité et priver certains citoyens de leur droit fondamental à l’information. Ces agents doivent être immédiatement traduits en justice », dénonce le président de la FIJ, Philippe Leruth.
Deux (2) journalistes du Mozambique Indépendamment Magazine hebdomadaire, journaliste et photographe Abanes Ndanda Antonio Nhangumbe, ont été attaqués, menacés et battus Mercredi 5 Juillet par les agents de sécurité du gouvernement de la province de Maputo. Abanes et Antonio ont été approchés par les agents de sécurité après avoir pris des photos de la façade du bâtiment du gouvernement provincial Maputo.
Selon un communiqué publié par le SNJ, la carte mémoire de l'appareil a été retirée et le contenu supprimé par les agents de sécurité. Les journalistes ont également été contraints de signer un document sans être autorisé à lire le contenu, lors de leur interrogatoire.
« Ces journalistes ne constituaient pas une forme de menace pour les agents de sécurité ou les fonctionnaires du gouvernement. Ils faisaient simplement leur travail. Ces actes d'intimidation et les menaces visent à tuer la vérité et priver certains citoyens de leur droit fondamental à l’information. Ces agents doivent être immédiatement traduits en justice », dénonce le président de la FIJ, Philippe Leruth.
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