Dès l'annonce des résultats officiels, Filipe Nyusi, a adressé un message rassembleur : « Nous devons travailler ensemble pour développer notre pays », a-t-il affirmé, s'adressant à ses principaux rivaux. L'urgence à ses yeux : achever le processus de démobilisation d'anciens combattants de la Renamo, principale force de l'opposition.
Mais plusieurs voix se sont élevées pour remettre en doute la transparence de ce scrutin. D'abord au sein des observateurs : les Américains ont exprimé d'« importantes inquiétudes liées à (...) des irrégularités qui pourraient avoir des conséquences sur la perception de l'intégrité du processus électoral. » Les Européens n'ont pas non plus mâché leurs mots.
Des critiques émanant également de huit membres de la Commission électorale, qui dénoncent aussi des anomalies du processus électoral. Ces responsables estiment que le président de cette instance est au service du Frelimo, le parti au pouvoir.
Ces critiques confortent l'opposition, qui dit avoir observé des « fraudes massives » et rejette les résultats de ces élections. L'opposition entend déposer des recours auprès du Conseil constitutionnel.
Mais plusieurs voix se sont élevées pour remettre en doute la transparence de ce scrutin. D'abord au sein des observateurs : les Américains ont exprimé d'« importantes inquiétudes liées à (...) des irrégularités qui pourraient avoir des conséquences sur la perception de l'intégrité du processus électoral. » Les Européens n'ont pas non plus mâché leurs mots.
Des critiques émanant également de huit membres de la Commission électorale, qui dénoncent aussi des anomalies du processus électoral. Ces responsables estiment que le président de cette instance est au service du Frelimo, le parti au pouvoir.
Ces critiques confortent l'opposition, qui dit avoir observé des « fraudes massives » et rejette les résultats de ces élections. L'opposition entend déposer des recours auprès du Conseil constitutionnel.