Photo montrant des membres de la Renamo en 2012.
Les discussions ont achoppé sur la réforme de la loi électorale réclamée par la Renamo, qui menace de boycotter les prochaines élections. Mais les deux parties ont néanmoins convenu de se rencontrer à nouveau, le temps pour l'ancienne guérilla de mieux formuler ses propositions pour ce nouveau dialogue politique.
Premier point à l'ordre du jour : les modifications à la loi électorale. L'ancienne rébellion exige une représentation paritaire à la commission électorale chargée d'assurer la bonne tenue des scrutins. Actuellement, elle est composée de treize membres, cinq nommés par le Frelimo, deux par la Renamo, un par le petit Mouvement démocratique mozambicain, trois par la société civile et deux par le système judiciaire.
Embuscade sur route nationale
Le second point, c'est la composition des forces armées. Autre point encore ,la dépolitisation des structures de l'Etat et enfin les « questions économiques », c'est-à-dire le partage des richesses provenant des ressources naturelles du pays. Mais, pour le gouvernement, la Renamo utilise la violence pour peser sur ces négociations.
Le pouvoir accuse notamment l'ancienne guérilla d'être l'auteur des attaques qui se multiplient dans le centre du pays. Dans cette région, et plus particulièrement dans la province de Sofala, plusieurs véhicules sont tombés vendredi dernier dans des embuscades, sur un tronçon de la route nationale EN1. Il faut dire que quelques jours plus tôt, la Renamo avait menacé qu'elle bloquerait la principale route nationale du Mozambique et mettrait hors service une voie ferrée essentielle à l'exportation du charbon.
Source : Rfi.fr
Premier point à l'ordre du jour : les modifications à la loi électorale. L'ancienne rébellion exige une représentation paritaire à la commission électorale chargée d'assurer la bonne tenue des scrutins. Actuellement, elle est composée de treize membres, cinq nommés par le Frelimo, deux par la Renamo, un par le petit Mouvement démocratique mozambicain, trois par la société civile et deux par le système judiciaire.
Embuscade sur route nationale
Le second point, c'est la composition des forces armées. Autre point encore ,la dépolitisation des structures de l'Etat et enfin les « questions économiques », c'est-à-dire le partage des richesses provenant des ressources naturelles du pays. Mais, pour le gouvernement, la Renamo utilise la violence pour peser sur ces négociations.
Le pouvoir accuse notamment l'ancienne guérilla d'être l'auteur des attaques qui se multiplient dans le centre du pays. Dans cette région, et plus particulièrement dans la province de Sofala, plusieurs véhicules sont tombés vendredi dernier dans des embuscades, sur un tronçon de la route nationale EN1. Il faut dire que quelques jours plus tôt, la Renamo avait menacé qu'elle bloquerait la principale route nationale du Mozambique et mettrait hors service une voie ferrée essentielle à l'exportation du charbon.
Source : Rfi.fr