«On existe et on essaie de survivre parce qu’aujourd’hui, ce que la musique offrait hier, elle ne l’offre plus car elle est confrontée a beaucoup de problèmes liés aux nouvelles technologies, l’environnement économique. Ce qui fait que la musique elle est promue autrement, elle est vendue autrement raison pour laquelle au niveau de Prince Arts, on s’est organisé de telle sorte qu’on ne compte plus sur la vente de CD, on est plutôt sur l’internet, sur les téléchargements et l’organisation de spectacle», souligne-t-elle sur les ondes de la RFM tout en précisant que « ce problème n’est pas spécifique au Sénégal, il est même mondial ».
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