Arborant des brassards rouge et munis de coupe-coupe, et de machettes, les éleveurs de Mbour fustigent le bradage de leur patrimoine foncier. Ils pointent du doigt le maire de la commune de Nguéniène (située entre Thiadaye et Joal Fadiouth) qu'ils accusent d’être responsable de cette spoliation, et sera également disent-ils, «tenue coupable de tout affrontement qui pourrait survenir ».
« Nous venons de tous les coins et recoins du département, et même des villages les plus reculés, pour manifester notre opposition au bradage de notre patrimoine foncier de toute la commune de Nguéniène. Il ne reste que cette zone de pâturage. Si on nous le prend, qu'est-ce qu'il va nous rester ? Il n’est pas question d’accepter un tel fait. Puisqu’il s’agit de notre survie, mais aussi celle de nos troupeaux », fulmine les éleveurs.
Ils ajoutent: « Nous n’allons pas allumer de pneu ni casser de bus. Nous sommes entièrement consacrés à notre travail qui est l’élevage. Et malgré tout, les autorités veulent nous imposer leur puissance pour confisquer notre zone de pâturage pour la remettre à un ressortissant européen, répondant au nom de Hofé ».
"Au prix de leurs vies", les éleveurs déclarent qu'’ils ne céderont pas le plus petit mètre carré de cette zone de pâturage, livre Walf radio.
« Nous venons de tous les coins et recoins du département, et même des villages les plus reculés, pour manifester notre opposition au bradage de notre patrimoine foncier de toute la commune de Nguéniène. Il ne reste que cette zone de pâturage. Si on nous le prend, qu'est-ce qu'il va nous rester ? Il n’est pas question d’accepter un tel fait. Puisqu’il s’agit de notre survie, mais aussi celle de nos troupeaux », fulmine les éleveurs.
Ils ajoutent: « Nous n’allons pas allumer de pneu ni casser de bus. Nous sommes entièrement consacrés à notre travail qui est l’élevage. Et malgré tout, les autorités veulent nous imposer leur puissance pour confisquer notre zone de pâturage pour la remettre à un ressortissant européen, répondant au nom de Hofé ».
"Au prix de leurs vies", les éleveurs déclarent qu'’ils ne céderont pas le plus petit mètre carré de cette zone de pâturage, livre Walf radio.