Le feu qui s’est déclaré la nuit du mercredi à l’aéroport Léopold Sédar Senghor et qui a causé son blocage pendant plusieurs heures et des désagréments à plusieurs compagnies aériennes a été l’occasion d’ouvrir les yeux sur les misères de Léopol Sédar Senghor. En effet, il est confronté à bien d’autres difficultés et problèmes. Le secrétaire général du Syndicat Unique des travailleurs des transports aériens et des activités annexes du Sénégal (SUTTAAAS), Baila Sow en a profité pour tirer la sonnette d’alarme.
«Au delà des délestages, il y’a problème au niveau du chargement des bagages. Des eaux usées coulent sur les travailleurs. Il y a aussi des serpents qui sont dans les zones de stockage et de stationnement du matériel. il y a la cendre récurrente sur les climatisations, il y a la cendre récurrente sur les tapis bagages. Il y a beaucoup de problème a l’aéroport LSS», a révélé Baila Sow.
L’ingénieur des infrastructures aéroportuaires, par ailleurs leader du MRDS (parti de l’opposition), Imam Mbaye Niang a estimé que l’incendie ne relève pas d’une négligence ou d’un manque de sérieux de l’ASECNA ou de la part des responsables qui gère les infrastructures aéroportuaires. «Le problème de l’aéroport, c’est l’agression de l’extension urbaine, il y a aujourd’hui beaucoup de gens à l’aéroport, beaucoup d’habitations, beaucoup de choses qui font que aujourd’hui les normes sont très difficiles à respecter.
Le directeur des infrastructures aéroportuaires chargé de la sécurité, Me Niang reconnait les problèmes de Léopold Sédar Senghor. «On reconnais les problèmes liés à l’agression des habitations. La plateforme aéroportuaire est menacée malgré cela nous veillons a mettre en œuvre les mesures de sécurité idoines», a-t-il déclaré au micro de nos confrères de la RFM qui ont consacré la question du jour de leur journal à la question. «Compte tenu de la situation actuelle, je crois que le nouveau aéroport de Diass va régler tout ces problèmes. Nous saluons tous vraiment l’idée mais aussi sa construction. C’est une aubaine, on ne pouvait pas penser mieux et espérer mieux. Dans un avenir très proche, on déménagera sur Diass et cette situation sera un vieux souvenir et c’est vrai que la plateforme est menacée cela ne date pas d’aujourd’hui», a souligné M. Niang. Avec l’autorité de l’aviation civile, a-t-il poursuivi, «nous avons des réunions en communauté de sécurité et nous veillons au grain pour qu’au moins les normes et tendances internationales continuent à être respectées au niveau de l’aéroport international».
«Au delà des délestages, il y’a problème au niveau du chargement des bagages. Des eaux usées coulent sur les travailleurs. Il y a aussi des serpents qui sont dans les zones de stockage et de stationnement du matériel. il y a la cendre récurrente sur les climatisations, il y a la cendre récurrente sur les tapis bagages. Il y a beaucoup de problème a l’aéroport LSS», a révélé Baila Sow.
L’ingénieur des infrastructures aéroportuaires, par ailleurs leader du MRDS (parti de l’opposition), Imam Mbaye Niang a estimé que l’incendie ne relève pas d’une négligence ou d’un manque de sérieux de l’ASECNA ou de la part des responsables qui gère les infrastructures aéroportuaires. «Le problème de l’aéroport, c’est l’agression de l’extension urbaine, il y a aujourd’hui beaucoup de gens à l’aéroport, beaucoup d’habitations, beaucoup de choses qui font que aujourd’hui les normes sont très difficiles à respecter.
Le directeur des infrastructures aéroportuaires chargé de la sécurité, Me Niang reconnait les problèmes de Léopold Sédar Senghor. «On reconnais les problèmes liés à l’agression des habitations. La plateforme aéroportuaire est menacée malgré cela nous veillons a mettre en œuvre les mesures de sécurité idoines», a-t-il déclaré au micro de nos confrères de la RFM qui ont consacré la question du jour de leur journal à la question. «Compte tenu de la situation actuelle, je crois que le nouveau aéroport de Diass va régler tout ces problèmes. Nous saluons tous vraiment l’idée mais aussi sa construction. C’est une aubaine, on ne pouvait pas penser mieux et espérer mieux. Dans un avenir très proche, on déménagera sur Diass et cette situation sera un vieux souvenir et c’est vrai que la plateforme est menacée cela ne date pas d’aujourd’hui», a souligné M. Niang. Avec l’autorité de l’aviation civile, a-t-il poursuivi, «nous avons des réunions en communauté de sécurité et nous veillons au grain pour qu’au moins les normes et tendances internationales continuent à être respectées au niveau de l’aéroport international».