Transféré de Filingué mercredi matin par hélicoptère vers Niamey, Hama Amadou a ensuite été transporté par avion médicalisé vers Paris. Il y a atterri mercredi 16 mars vers 21 heures, avant de rejoindre l’hôpital américain de Neuilly en ambulance.
L’ancien président de l’Assemblée nationale nigérienne, que le ministère français des Affaires étrangères a confirmé accueillir pour des raisons humanitaires, était accompagné de son fils, Ismaël, et de médecins de l’établissement.
Une « fatigue générale » ?
Le candidat au second tour de la présidentielle du 20 mars souffrirait de fatigue générale, « une asthénie », selon un rapport cité par le porte-parole du gouvernement Marou Amadou, mardi 15 mars.
Il serait également atteint d’une maladie des yeux, selon ses soutiens, qui estiment que son état de santé s’est considérablement dégradé lors de sa détention. Des interrogations demeurent sur la gravité de l’état de l’ancien Premier ministre, dont le médecin personnel a été interpellé au Niger pour « propagation de fausses nouvelles »
Un précédent transfert avait auparavant échoué vendredi 11 mars dernier malgré le fait qu’un hélicoptère ait été envoyé sur place. Il n’avait en effet pas pu décoller, le candidat au second tour ayant dû se contenter des soins dispensés dans un dispensaire de Filingué. Son état s’était ensuite dégradé lundi, la pression s’accentuant sur les autorités nigériennes pour favoriser son transfert.
Source: Jeune afrique
L’ancien président de l’Assemblée nationale nigérienne, que le ministère français des Affaires étrangères a confirmé accueillir pour des raisons humanitaires, était accompagné de son fils, Ismaël, et de médecins de l’établissement.
Une « fatigue générale » ?
Le candidat au second tour de la présidentielle du 20 mars souffrirait de fatigue générale, « une asthénie », selon un rapport cité par le porte-parole du gouvernement Marou Amadou, mardi 15 mars.
Il serait également atteint d’une maladie des yeux, selon ses soutiens, qui estiment que son état de santé s’est considérablement dégradé lors de sa détention. Des interrogations demeurent sur la gravité de l’état de l’ancien Premier ministre, dont le médecin personnel a été interpellé au Niger pour « propagation de fausses nouvelles »
Un précédent transfert avait auparavant échoué vendredi 11 mars dernier malgré le fait qu’un hélicoptère ait été envoyé sur place. Il n’avait en effet pas pu décoller, le candidat au second tour ayant dû se contenter des soins dispensés dans un dispensaire de Filingué. Son état s’était ensuite dégradé lundi, la pression s’accentuant sur les autorités nigériennes pour favoriser son transfert.
Source: Jeune afrique