Mahamadou Issoufou, président de la République du Niger ©RFI/Delphine Michaud
Ce lundi, deux journalistes et un opposant avaient, eux, été libérés après avoir été entendus par le procureur de la République qui avait estimé qu'il n'y avait pas matière à poursuite. Marou Amadou, le garde des Sceaux, avait prévenu la semaine dernière que le gouvernement ne tolèrerait plus certains dérapages de la presse.
Boubacar Diallo, président de la Maison de la presse, se dit inquiet. Pour lui, on est en train d'assister à une véritable remise en cause des acquis.
Source : Rfi.fr