L'accord de retrait est enfin scellé, et il a visiblement été âprement négocié ces derniers jours, de militaire à militaire. Mais il a permis d'aplanir les divergences, disent les autorités nigériennes…
Si, à Paris, l’état-major des armées ne donne aucune indication sur la manœuvre à venir, les militaires nigériens ont en revanche publiquement esquissé les contours du retrait français : les 400 soldats présents dans la zone des trois frontières, vont rejoindre Niamey. Puis, l'ensemble des forces françaises, soit 1 500 hommes, rejoindront le Tchad par la route, avant d'être rapatriés.
Ce plan de retrait validé prévoit que sur le sol nigérien, les véhicules militaires français devront démonter les armes de bord. La sécurité sera du ressort des Forces armées nigériennes (FAN).
Si, à Paris, l’état-major des armées ne donne aucune indication sur la manœuvre à venir, les militaires nigériens ont en revanche publiquement esquissé les contours du retrait français : les 400 soldats présents dans la zone des trois frontières, vont rejoindre Niamey. Puis, l'ensemble des forces françaises, soit 1 500 hommes, rejoindront le Tchad par la route, avant d'être rapatriés.
Ce plan de retrait validé prévoit que sur le sol nigérien, les véhicules militaires français devront démonter les armes de bord. La sécurité sera du ressort des Forces armées nigériennes (FAN).