Amnesty international a publié les conclusions d'une enquête sur la situation humanitaire au Nigeria.
L'organisation internationale de défense des droits de l'homme dénonce les multiples entraves aux droits des populations.
Elle critique par ailleurs le maintien de la peine de mort dans le système judiciaire.
"Les peines de mort prononcées au Nigeria augmentent au moment où plusieurs pays d'Afrique subsaharienne font, au contraire, des efforts pour l'abolir" affirme Isa Sanusi porte-parole d'Amnesty International au Nigeria.
Bien que la sentence soit rarement exécutée, Isa Sanusi déplore que "de milliers de personnes soient dans le couloir de la mort" dans ce pays.
Amnesty souligne que "la situation des droits de l'homme au Nigeria est horrible".
L'ONG internationale de défense des droits de l'homme note que "des cas de violations (la torture et les exécutions extrajudiciaires) sont enregistrés tous les jours" en raison notamment de l'insécurité.
Amnesty révèle en outre que les responsables de ces actes se retrouvent aussi bien parmi les officiels qu'au sein des différents groupes armés.
L'enquête accuse le gouvernement d'être principal responsable de la détérioration de la situation sur le territoire.
L'ONG se dit tout de même confiante quant à la volonté des autorités à travailler pour réduire les cas d'exactions commises à travers le pays.
L'organisation internationale de défense des droits de l'homme dénonce les multiples entraves aux droits des populations.
Elle critique par ailleurs le maintien de la peine de mort dans le système judiciaire.
"Les peines de mort prononcées au Nigeria augmentent au moment où plusieurs pays d'Afrique subsaharienne font, au contraire, des efforts pour l'abolir" affirme Isa Sanusi porte-parole d'Amnesty International au Nigeria.
Bien que la sentence soit rarement exécutée, Isa Sanusi déplore que "de milliers de personnes soient dans le couloir de la mort" dans ce pays.
Amnesty souligne que "la situation des droits de l'homme au Nigeria est horrible".
L'ONG internationale de défense des droits de l'homme note que "des cas de violations (la torture et les exécutions extrajudiciaires) sont enregistrés tous les jours" en raison notamment de l'insécurité.
Amnesty révèle en outre que les responsables de ces actes se retrouvent aussi bien parmi les officiels qu'au sein des différents groupes armés.
L'enquête accuse le gouvernement d'être principal responsable de la détérioration de la situation sur le territoire.
L'ONG se dit tout de même confiante quant à la volonté des autorités à travailler pour réduire les cas d'exactions commises à travers le pays.
Autres articles
-
Tchad: Changement des formules de protocole à l’égard du Président de la République
-
Fédération Sénégalaise d’Escrime : Cécile Faye succède à Mbagnick Ndiaye
-
Guinée: une opération anticriminalité provoque des tensions avec la Sierra Leone
-
Donald Trump nomme le créateur de son émission de téléréalité émissaire au Royaume-Uni
-
Cyclone Chido: le bilan s'aggrave à 94 morts au Mozambique