Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI
Les voix se font entendre mais les propos sont de plus en plus violents : « Ce gouvernement doit partir, on va faire en sorte de le faire partir ! », s'énerve un manifestant. Assis en cercle, à discuter, plusieurs hommes portant des tee-shirts sur lesquels est inscrit « Jonathan arrête de nous tuer » : « Le Nigeria est béni par le pétrole, c’est le huitième producteur du monde mais on en profite pas. De l’indépendance à aujourd’hui, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu'à l’actuel, aucun n’a amélioré la vie des Nigérians ! »
Les autorités ont assuré que les quelque six milliards d'euros originellement attribués à la subvention de l'essence permettraient d'améliorer les infrastructures du pays. Les populations n'y croient pas un seul instant : « C’est le même discours depuis les dictatures militaires ! Il y a deux trois ans la subvention sur le diesel a été supprimée, quel est l’impact ? Où est l’argent ? A quoi a-t-il servi ? Ils nous prennent pour des imbéciles ! Ça ne prend plus ! On est plus instruit ! Quel est ce genre de gouvernement ? Ils s’en foutent de savoir si on vit ou meurt ! Ça suffit ! Y'en a marre ! » s'insurge un manifestant. « On ne veut plus le [Goodluck Jonathan, NDLR] voir ».
Mardi, le gouvernement a jugé cette grève illégale et a menacé de ne pas payer les salaires des fonctionnaires grévistes. Qu'importe les populations sont déterminées à poursuivre le mouvement.
Les deux syndicats de travailleurs du pétrole du Nigeria -premier producteur de brut d'Afrique- ont menacé pour la première fois depuis le début de la grève générale d'interrompre la production de brut.
Les grévistes demandent le rétablissement des subventions aux carburants dont la suppression, le 1er janvier 2012, en entraîné un doublement des prix de l'essence. L'augmentation a aussitôt été répercutée sur les autres biens de consommation.
Source : RFI