Manifestation contre la suppression des subventions aux combustibles à Lagos, le 11 janvier 2012. REUTERS/Akintunde Akinleye
Samedi et dimanche risquent d’être des journées très remplies. Après cinq jours d’une grève générale largement suivie, beaucoup de commerces et d’entreprises ont décidé de rattraper le temps. Quant au gouvernement, il a deux jours pour trouver un accord avec les syndicats.
Selon certaines informations, les autorités pourraient faire marche arrière. Une suppression graduelle de la subvention sur le carburant, échelonnée sur les prochains mois, serait notamment envisagée. L’enjeu, pour le pouvoir fédéral, est de convaincre les syndicats qu’il faut en finir avec cette subvention. Les différents gouvernements qui s’y sont essayés par le passé, ont systématiquement échoué.
Dans le cas où un compromis serait trouvé avec les différentes confédérations, reste à voir quelle sera la réaction des populations. En dépit du considérable manque à gagner que représente la grève pour les Nigérians, la plupart se disent déterminés à obtenir gain de cause.
Ils veulent, non seulement le rétablissement du prix initial du litre d’essence à 65 naira, soit l’équivalent de 33 centimes d’euro, et ils exigent surtout plus de transparence dans la gestion des affaires publiques, et des économies de la part des dirigeants.
Source: RFI
Selon certaines informations, les autorités pourraient faire marche arrière. Une suppression graduelle de la subvention sur le carburant, échelonnée sur les prochains mois, serait notamment envisagée. L’enjeu, pour le pouvoir fédéral, est de convaincre les syndicats qu’il faut en finir avec cette subvention. Les différents gouvernements qui s’y sont essayés par le passé, ont systématiquement échoué.
Dans le cas où un compromis serait trouvé avec les différentes confédérations, reste à voir quelle sera la réaction des populations. En dépit du considérable manque à gagner que représente la grève pour les Nigérians, la plupart se disent déterminés à obtenir gain de cause.
Ils veulent, non seulement le rétablissement du prix initial du litre d’essence à 65 naira, soit l’équivalent de 33 centimes d’euro, et ils exigent surtout plus de transparence dans la gestion des affaires publiques, et des économies de la part des dirigeants.
Source: RFI