Depuis le début de l'année, ces groupes ont multiplié les rapts dans les écoles et autres établissements scolaires dans toute la région, pour réclamer des rançons aux proches des victimes. Près de 1 000 étudiants ont ainsi été enlevés en quelques mois.
Nombre d'entre eux ont été libérés après avoir passé plusieurs semaines ou mois en captivité, mais des dizaines d'étudiants sont toujours détenus par leurs ravisseurs.
À Zamfara, 18 étudiants enlevés mi-août dans un collège agricole ont été libérés la semaine dernière. Une centaine d'enfants enlevés en mai dans un séminaire islamique de l'État du Niger et 32 autres, enlevés en juillet dans une école baptiste de l'État de Kaduna, ont eux aussi pu être libérés ces derniers jours.
Le président Muhammadu Buhari est sous pression en raison de l'insécurité grandissante malgré le déploiement de l'armée dans les régions où les bandes criminelles ont établi des camps.
Nombre d'entre eux ont été libérés après avoir passé plusieurs semaines ou mois en captivité, mais des dizaines d'étudiants sont toujours détenus par leurs ravisseurs.
À Zamfara, 18 étudiants enlevés mi-août dans un collège agricole ont été libérés la semaine dernière. Une centaine d'enfants enlevés en mai dans un séminaire islamique de l'État du Niger et 32 autres, enlevés en juillet dans une école baptiste de l'État de Kaduna, ont eux aussi pu être libérés ces derniers jours.
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