Dans son discours de Noël, Benoît XVI a eu une pensée particulière pour les habitants d'Afrique et du Moyen-Orient victimes de conflits, à commencer par les Israéliens et les Palestiniens.
Dans son message Urbi et Orbi (à la Ville et au monde), le souverain pontife a souhaité "que la lumière qui luit de Bethléem se répande en Terre Sainte où l'horizon semble redevenir sombre".
Depuis la fin de la trêve la semaine dernière, les tirs de roquettes palestiniennes se sont multipliés sur le sud d'Israël et l'Etat hébreu semble préparer une opération d'envergure dans la Bande de Gaza.
Benoît XVI a espéré que la lumière de Noël "se répande au Liban, en Irak et partout au Moyen-Orient". "Qu'elle féconde les efforts de tous ceux qui ne se résignent pas à la logique perverse de l'affrontement ou de la violence, qui privilégient au contraire la voie de solutions justes et durables aux conflits qui tourmentent la région", a souhaité le pape.
Le souverain pontife a également déploré que les habitants du Zimbabwe soient "pris depuis trop longtemps dans l'étreinte d'une crise politique et sociale qui malheureusement continue de s'aggraver".
Il a évoqué la situation au Nord Kivu, en République démocratique du Congo, et au Darfour, au Soudan. Il a estimé que les "souffrances interminables" de la Somalie sont "une tragique conséquence de l'absence de stabilité et de paix".
En pleine tourmente économique mondiale, Benoît XVI a souligné que "si chacun pense uniquement à ses propres intérêts, le monde ne peut qu'aller à sa ruine".
"Là où les égoïsmes personnels ou de groupe prévalent sur le bien commun (...) là où manque le nécessaire pour survivre, là où l'on regarde avec appréhension vers un avenir qui devient toujours plus incertain, même dans les nations qui sont dans l'aisance, que là resplendisse la lumière de Noël et qu'elle encourage chacun à faire son propre devoir dans un esprit d'authentique solidarité", a-t-il lancé.
Depuis un balcon dominant la place Saint-Pierre-de-Rome, Benoît XVI a ensuite adressé ses voeux de Noël en 64 langues, une de plus que l'année dernière, commençant par l'italien et terminant par le latin. La langue supplémentaire de cette année était l'islandais.
source : AP avec yahoo news
Dans son message Urbi et Orbi (à la Ville et au monde), le souverain pontife a souhaité "que la lumière qui luit de Bethléem se répande en Terre Sainte où l'horizon semble redevenir sombre".
Depuis la fin de la trêve la semaine dernière, les tirs de roquettes palestiniennes se sont multipliés sur le sud d'Israël et l'Etat hébreu semble préparer une opération d'envergure dans la Bande de Gaza.
Benoît XVI a espéré que la lumière de Noël "se répande au Liban, en Irak et partout au Moyen-Orient". "Qu'elle féconde les efforts de tous ceux qui ne se résignent pas à la logique perverse de l'affrontement ou de la violence, qui privilégient au contraire la voie de solutions justes et durables aux conflits qui tourmentent la région", a souhaité le pape.
Le souverain pontife a également déploré que les habitants du Zimbabwe soient "pris depuis trop longtemps dans l'étreinte d'une crise politique et sociale qui malheureusement continue de s'aggraver".
Il a évoqué la situation au Nord Kivu, en République démocratique du Congo, et au Darfour, au Soudan. Il a estimé que les "souffrances interminables" de la Somalie sont "une tragique conséquence de l'absence de stabilité et de paix".
En pleine tourmente économique mondiale, Benoît XVI a souligné que "si chacun pense uniquement à ses propres intérêts, le monde ne peut qu'aller à sa ruine".
"Là où les égoïsmes personnels ou de groupe prévalent sur le bien commun (...) là où manque le nécessaire pour survivre, là où l'on regarde avec appréhension vers un avenir qui devient toujours plus incertain, même dans les nations qui sont dans l'aisance, que là resplendisse la lumière de Noël et qu'elle encourage chacun à faire son propre devoir dans un esprit d'authentique solidarité", a-t-il lancé.
Depuis un balcon dominant la place Saint-Pierre-de-Rome, Benoît XVI a ensuite adressé ses voeux de Noël en 64 langues, une de plus que l'année dernière, commençant par l'italien et terminant par le latin. La langue supplémentaire de cette année était l'islandais.
source : AP avec yahoo news