Le président ivoirien Alassane Ouattara, par ailleurs président de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), a souhaité voir l'Onu adopté "vers la fin de cette semaine" une résolution pour une intervention militaire ouest-africaine au Nord Mali, recevant mardi à Abidjan le représentant du secrétaire général des Nations unies pour le Sahel, Romano Prodi, ex-Premier ministre italien.
"Nous souhaitons que grâce à son influence et à son implication nous puissions obtenir la résolution des Nations unies vers la fin de cette semaine", a déclaré Alassane Ouattara, à l'issue d'un entretien de près d'une heure avec son hôte.
"Les menaces sont grandes non seulement pour le Nord Mali mais pour toute l'Afrique de l'Ouest", a ajouté M. Ouattara tout en rappelant à M. Prodi que les habitants du Nord Mali font l'objet de "violations très graves des droits de l'homme" dans une région qui "s'appauvrit de jour en jour".
Quant à l'ex-Premier ministre italien, il a souligné la nécessité de "préparer l'action militaire de façon efficace" même s'il reconnait que le problème du Mali est "grave et urgent".
Il a indiqué qu'il y a "un accord général et partagé" de toute la communauté internationale de protéger le Sahel contre le terrorisme.
La CEDEAO a mis en place une force militaire de plus de 3 000 hommes qui attend une résolution de l'Onu pour libérer le nord du Mali occupé par des islamistes armés.
"Nous souhaitons que grâce à son influence et à son implication nous puissions obtenir la résolution des Nations unies vers la fin de cette semaine", a déclaré Alassane Ouattara, à l'issue d'un entretien de près d'une heure avec son hôte.
"Les menaces sont grandes non seulement pour le Nord Mali mais pour toute l'Afrique de l'Ouest", a ajouté M. Ouattara tout en rappelant à M. Prodi que les habitants du Nord Mali font l'objet de "violations très graves des droits de l'homme" dans une région qui "s'appauvrit de jour en jour".
Quant à l'ex-Premier ministre italien, il a souligné la nécessité de "préparer l'action militaire de façon efficace" même s'il reconnait que le problème du Mali est "grave et urgent".
Il a indiqué qu'il y a "un accord général et partagé" de toute la communauté internationale de protéger le Sahel contre le terrorisme.
La CEDEAO a mis en place une force militaire de plus de 3 000 hommes qui attend une résolution de l'Onu pour libérer le nord du Mali occupé par des islamistes armés.
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