Erna Solberg, leader du Parti conservateur en Norvège, lors du vote, le 9 septembre 2013. REUTERS/Heiko Junge/NTB Scanpix
La première certitude de cette soirée électorale, c’est que le Premier ministre travailliste Jens Stoltenberg devra quitter son poste dans les prochains jours. Sa coalition de centre gauche au pouvoir depuis huit ans n’a pas été reconduite. Mais la défaite semble moins forte que prévue. Le parti travailliste reste le plus grand parti de Norvège, comme cela a toujours été le cas depuis 1920.
La droite a gagné le pouvoir, la gauche a gagné la campagne
C’est la présidente du parti conservateur Erna Solberg qui sera chargée de former un nouveau gouvernement. Mais les conservateurs n’obtiennent pas de majorité avec les populistes de droite, c’est l’autre certitude des premiers résultats. Les deux partis devront donc négocier la composition du gouvernement avec deux autres petits partis du centre droit.
On se dirige vers une victoire moins nette qu’espérée pour la droite norvégienne. Tous les partis politiques avaient donc des raisons de se réjouir, ce lundi soir. La droite a gagné le pouvoir, la gauche a gagné la campagne électorale en limitant sa défaite.
Source : Rfi.fr
La droite a gagné le pouvoir, la gauche a gagné la campagne
C’est la présidente du parti conservateur Erna Solberg qui sera chargée de former un nouveau gouvernement. Mais les conservateurs n’obtiennent pas de majorité avec les populistes de droite, c’est l’autre certitude des premiers résultats. Les deux partis devront donc négocier la composition du gouvernement avec deux autres petits partis du centre droit.
On se dirige vers une victoire moins nette qu’espérée pour la droite norvégienne. Tous les partis politiques avaient donc des raisons de se réjouir, ce lundi soir. La droite a gagné le pouvoir, la gauche a gagné la campagne électorale en limitant sa défaite.
Source : Rfi.fr