
Dans un communiqué, Ansoumana Dione a catégoriquement rejeté les informations diffusées par le ministère. Selon lui, les allégations de licenciement sont « totalement fausses ». Il a précisé qu'en sa qualité de Conseiller à la Direction Générale de l'Action Sociale, il n'a reçu aucune notification de licenciement et n'a vu aucun agent concerné par cette mesure. Monsieur Dione qualifie cette communication du MSAS de « mensonge d’État », soulignant qu'il s'agit d'une fausse information destinée à tromper le public.
Dans sa réaction, Ansoumana Dione a également mis en cause le Directeur Général de l'Action Sociale, Boucar Diouf. Qu'il désigne comme étant au cœur de cette affaire. Il estime que ces autorités « n'ont aucun pouvoir légal » pour mettre fin aux contrats des 156 agents et que leur absence de notification officielle montre leur incapacité à mener à bien cette action.
Le président de l'ASSAMM remet en question les démarches administratives du MSAS. Pour lui, il ne s'agit pas d'une mesure légale mais d'une tentative de manipulation. « Ils n'osent même pas notifier à ces agents une quelconque attestation de fin de contrat », a-t-il conclu dans sa lettre, rejetant toute responsabilité sur les responsables gouvernementaux.
Dans sa réaction, Ansoumana Dione a également mis en cause le Directeur Général de l'Action Sociale, Boucar Diouf. Qu'il désigne comme étant au cœur de cette affaire. Il estime que ces autorités « n'ont aucun pouvoir légal » pour mettre fin aux contrats des 156 agents et que leur absence de notification officielle montre leur incapacité à mener à bien cette action.
Le président de l'ASSAMM remet en question les démarches administratives du MSAS. Pour lui, il ne s'agit pas d'une mesure légale mais d'une tentative de manipulation. « Ils n'osent même pas notifier à ces agents une quelconque attestation de fin de contrat », a-t-il conclu dans sa lettre, rejetant toute responsabilité sur les responsables gouvernementaux.
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