Le leader du Grand Parti Malick Gakou a développé un certain nombre d’agrégats pour mesure le développement. Selon lui, le Sénégal a aujourd’hui un ratio PIB endettement qui avoisine les 74 %.
« Pour faire la mesure du développement d’un pays, nous avons besoin de mesurer quelques agrégats. Le premier agrégat, c’est le déficit budgétaire du Sénégal qui s’élève aujourd’hui à 6,2 %, dépassant de loin, les critères de convergence de l’UEMOA qui se situe entre 2 et 3 % », a déclaré Malick Gakou. Notre pays, aujourd’hui, a un ratio PIB endettement qui avoisine les 74 %. Le Sénégal a un déficit de la balance commerciale qui est de l’ordre de 3,2% avoisinant les 1700 milliards. Comment dans ce pays qui accumule autant de déficits majeurs peut-il aspirer à devenir dans l’immédiat le pays qui se place dans le circuit de la compétitivité internationale a un niveau relevé. Cela est impossible », a déclaré Malick Gakou.
Selon lui, tout le monde sait que la croissance économique du Sénégal n’est pas une croissance inclusive. « La croissance économique du Sénégal est essentiellement portée par le secteur tertiaire. Notamment par les télécommunications, les assurances et les banques. Vous savez pertinemment que le taux d’employabilité de ce secteur est faible. Pour que le Sénégal puisse avoir une croissance inclusive, il faudrait que ce terme de la croissance soit défini par les agrégats dont le niveau d’employabilité est élevé notamment par le développement du secteur agricole et du secteur industriel », assène Malick Gakou.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Le Sénégal, importe tout. Comment un pays qui import tout peut-il aspirer à la souveraineté alimentaire… Le Sénégal importe 1 million 200 mille tonnes de riz par année. Tant que nous continuons à importer le Sénégal, ne va jamais avancer ».
« Pour faire la mesure du développement d’un pays, nous avons besoin de mesurer quelques agrégats. Le premier agrégat, c’est le déficit budgétaire du Sénégal qui s’élève aujourd’hui à 6,2 %, dépassant de loin, les critères de convergence de l’UEMOA qui se situe entre 2 et 3 % », a déclaré Malick Gakou. Notre pays, aujourd’hui, a un ratio PIB endettement qui avoisine les 74 %. Le Sénégal a un déficit de la balance commerciale qui est de l’ordre de 3,2% avoisinant les 1700 milliards. Comment dans ce pays qui accumule autant de déficits majeurs peut-il aspirer à devenir dans l’immédiat le pays qui se place dans le circuit de la compétitivité internationale a un niveau relevé. Cela est impossible », a déclaré Malick Gakou.
Selon lui, tout le monde sait que la croissance économique du Sénégal n’est pas une croissance inclusive. « La croissance économique du Sénégal est essentiellement portée par le secteur tertiaire. Notamment par les télécommunications, les assurances et les banques. Vous savez pertinemment que le taux d’employabilité de ce secteur est faible. Pour que le Sénégal puisse avoir une croissance inclusive, il faudrait que ce terme de la croissance soit défini par les agrégats dont le niveau d’employabilité est élevé notamment par le développement du secteur agricole et du secteur industriel », assène Malick Gakou.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Le Sénégal, importe tout. Comment un pays qui import tout peut-il aspirer à la souveraineté alimentaire… Le Sénégal importe 1 million 200 mille tonnes de riz par année. Tant que nous continuons à importer le Sénégal, ne va jamais avancer ».
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