Le Ministre des Technologies de l’Information et de la communication (TIC) du Sénégal, Madame Fatou Ndiaye Blondin Diop qui a présidé ce lundi 23 Août, la cérémonie d’ouverture du Forum ouest-africain sur la gouvernance de l’Internet a estimé que «Internet touche maintenant tous les aspects de notre vie: notre travail, les communications avec les proches et les partenaires commerciaux, l’accès à la santé, le commerce et l’Education». De son avis «nous allons être de plus en plus dépendants de son utilisation à l’avenir. Pour cette raison il est impératif que nous assurions la participation pleine et effective de tous, aux discussions sur sa gouvernance».
Elle a fait comprendre qu’ «Internet n’est pas une fin en soi. Ce n’est qu’un outil au service du monde professionnel, dans nos vies privées, c’est utilisé par tous les acteurs, par nos enfants. L’Etat souverain doit gérer, mettre en œuvre les bonnes pratiques, sensibiliser et accompagner la population dans l’usage de cet outil comme tous les outils d’ailleurs».
Madame la Ministre est convaincu qu’«Internet joue un rôle important dans le développement africain et dans l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens». Selon elle, il y a, à peine, une décennie, de nombreux pays africains n’étaient pas connectés. Aujourd’hui, l’accessibilité à Internet est devenue une réalité dans tous les pays africains.
Le Ministre de TIC de faire savoir que «l’adoption croissante des services 3G de téléphonie mobile et autres technologies d’accès sans fil a considérablement amélioré le taux d’accès grâce à une plus grande disponibilité des services et une réduction des coûts de connexion un peu partout en Afrique».
En outre, Mme Fatou Ndiaye Blondin Diop est d’avis que «l’usage sans cesse croissant de l’Internet en Afrique impose de mettre la question de sa gouvernance au cœur des priorités des Etats bien que la pénétration d’Internet dans notre continent soit encore moins importante que dans d’autres parties du monde, en particulier dans les pays développés».
L’objectif de ce forum est de préparer la plateforme qui sera présentée par les représentants de l’Afrique de l’ouest au Forum mondial sur la gouvernance de l’internet qui va se tenir en septembre prochain à Vilnius, en Lituanie.
Cette rencontre qui va durer trois jours verra la participation de plusieurs pays africains: le Burkina Faso, la Gambie, la Sierra-Leone, le Libéria, le Nigéria, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Sénégal.
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Elle a fait comprendre qu’ «Internet n’est pas une fin en soi. Ce n’est qu’un outil au service du monde professionnel, dans nos vies privées, c’est utilisé par tous les acteurs, par nos enfants. L’Etat souverain doit gérer, mettre en œuvre les bonnes pratiques, sensibiliser et accompagner la population dans l’usage de cet outil comme tous les outils d’ailleurs».
Madame la Ministre est convaincu qu’«Internet joue un rôle important dans le développement africain et dans l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens». Selon elle, il y a, à peine, une décennie, de nombreux pays africains n’étaient pas connectés. Aujourd’hui, l’accessibilité à Internet est devenue une réalité dans tous les pays africains.
Le Ministre de TIC de faire savoir que «l’adoption croissante des services 3G de téléphonie mobile et autres technologies d’accès sans fil a considérablement amélioré le taux d’accès grâce à une plus grande disponibilité des services et une réduction des coûts de connexion un peu partout en Afrique».
En outre, Mme Fatou Ndiaye Blondin Diop est d’avis que «l’usage sans cesse croissant de l’Internet en Afrique impose de mettre la question de sa gouvernance au cœur des priorités des Etats bien que la pénétration d’Internet dans notre continent soit encore moins importante que dans d’autres parties du monde, en particulier dans les pays développés».
L’objectif de ce forum est de préparer la plateforme qui sera présentée par les représentants de l’Afrique de l’ouest au Forum mondial sur la gouvernance de l’internet qui va se tenir en septembre prochain à Vilnius, en Lituanie.
Cette rencontre qui va durer trois jours verra la participation de plusieurs pays africains: le Burkina Faso, la Gambie, la Sierra-Leone, le Libéria, le Nigéria, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Sénégal.
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