Il faut désormais compter 152 partis politiques existant au Sénégal. Jusqu’à hier, on en était encore au pléthorique 151 partis et voila que le nouveau centre du Sénégal(Ncs) est mis sur les rails ce matin et allonge la liste. Dirigé par de jeunes anciens militants de Jëf Jël, le Cns est né pour « rompre avec toutes les méthodes et manières de faire de la politique depuis l’indépendance jusqu’à présent » indique Cheikh Oumar Ly, porte parole du jour. Son secrétaire général s’appelle Ibrahima Ndiaye. Il est né un 26 janvier 1976 à Dakar. Il a fait ses études primaires à l’école 4 de Pikine avant d’atterrir au lycée Demba Diop de Mbour où il obtint son bac. La faculté des sciences juridiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar l’accueille ensuite. A peine la première année terminée, il s’envole pour Paris. A Panam, il obtint une licence en relations internationales. Ibrahima intègre par la suite le centre des arts et métiers de Paris où il sort avec des certificats. Comme expérience professionnelle, ce jeune chef de parti a eu à travailler comme chargé de la communication dans un consortium de téléphonie.
En conférence de presse ce matin à Dakar les ambitions à court terme de cette nouvelle formation ont été déroulées. En effet, afin de changer les méthodes préétablies en politique le Ncs compte fonder sa ligne sur la vérité, l’équité et la fraternité. Par ricochet, ces jeunes se donnent pour mission « de sensibiliser et de conscientiser nos compatriotes sur les valeurs, la démocratie et la bonne gouvernance pour relever le défi du développement économique et social de notre pays » suivant Cheikh Oumar Ly. Avec eux, escomptent-ils, « ce sera la fin de la politique du désespoir et du laisser faire, du népotisme et du clientélisme » soutient Ibrahima Ndiaye secrétaire général du nouveau né.
Dégoutés par ce qui a été fait jusque la en politique ces jeunes ne pensent pour l’instant nouer partenariat avec aucun parti. Et comme le souligne le secrétaire général « nous ne sommes ni un parti d’appoint, ni un parti d’apposition ». Ils ne sont donc pas là pour être les relais d’un quelconque parti, même pas d’ailleurs du Jëf Jël qui les a formé. Alors, Benno n’en parlons pas ils l’assimilent d’ailleurs à « une association de récépissés ».
M. Ndiaye et ses frères de parti ne pouvaient occulter l’actualité. C’est ainsi que la question de la candidature de Wade a été prise en compte. Et Ndiaye pense qu’elle est « irrecevable et stupide ». Car un « vieux de 86 ans doit plus penser à la retraite qu’à diriger un pays ». Et à Ibrahima Ndiaye de rappeler au chef de l’Etat ces propos : « je n’entrerais jamais au palais en marchant sur des cadavres alors M. le président il ne faut pas non plus accepter de sortir du palais en marchant sur des cadavres ». Ceci même si le Ncs n’est sur de pouvoir se présenter aux élections de 2012.
En conférence de presse ce matin à Dakar les ambitions à court terme de cette nouvelle formation ont été déroulées. En effet, afin de changer les méthodes préétablies en politique le Ncs compte fonder sa ligne sur la vérité, l’équité et la fraternité. Par ricochet, ces jeunes se donnent pour mission « de sensibiliser et de conscientiser nos compatriotes sur les valeurs, la démocratie et la bonne gouvernance pour relever le défi du développement économique et social de notre pays » suivant Cheikh Oumar Ly. Avec eux, escomptent-ils, « ce sera la fin de la politique du désespoir et du laisser faire, du népotisme et du clientélisme » soutient Ibrahima Ndiaye secrétaire général du nouveau né.
Dégoutés par ce qui a été fait jusque la en politique ces jeunes ne pensent pour l’instant nouer partenariat avec aucun parti. Et comme le souligne le secrétaire général « nous ne sommes ni un parti d’appoint, ni un parti d’apposition ». Ils ne sont donc pas là pour être les relais d’un quelconque parti, même pas d’ailleurs du Jëf Jël qui les a formé. Alors, Benno n’en parlons pas ils l’assimilent d’ailleurs à « une association de récépissés ».
M. Ndiaye et ses frères de parti ne pouvaient occulter l’actualité. C’est ainsi que la question de la candidature de Wade a été prise en compte. Et Ndiaye pense qu’elle est « irrecevable et stupide ». Car un « vieux de 86 ans doit plus penser à la retraite qu’à diriger un pays ». Et à Ibrahima Ndiaye de rappeler au chef de l’Etat ces propos : « je n’entrerais jamais au palais en marchant sur des cadavres alors M. le président il ne faut pas non plus accepter de sortir du palais en marchant sur des cadavres ». Ceci même si le Ncs n’est sur de pouvoir se présenter aux élections de 2012.