Les journalistes professionnels du Niger viennent de se doter d’un nouveau code d’éthique et de déontologie. La cérémonie de présentation de ce nouveau document s’est déroulée ce lundi 19 juillet à la Maison de la Presse en présence de la ministre de la Communication des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Culture, ainsi que du président de l’Observatoire Nationale de la Communication (ONC), du président de la Maison de la Presse, des responsables des médias. Ce nouveau code d’éthique et de déontologie vient ainsi remplacer la Charte des journalistes professionnels de 1997.
C’est l’Observatoire Nigérien Indépendant des Médias pour l’Ethique et la Déontologie (ONIMED), organe d’autorégulation, qui est l’initiateur de ce nouveau code. Selon le président de l’ONIMED, Monsieur Illa Kané, ce code servira de base de travail pour son institution, mais aussi contribuera à rendre plus responsable les journalistes nigériens dans la recherche et la diffusion de l’information et éviter au maximum les dérapages constatés.
Il faut rappeler que le 15 juillet 2010, l’ONIMED a rendu un communiqué dans lequel, elle attire l’attention des journalistes et des responsables des médias sur le fait que la dépénalisation des délits de presse ne signifie nullement une licence à tout faire, mais qu’elle appelle plutôt de leur part à un sens aigu de responsabilité et de professionnalisme dans le traitement de l’information. Selon nos sources, cette sortie de l’ONIMED, fait suite à sept (7) plaintes déposées auprès de l’Observatoire Nationale de la Communication par certains citoyens qui s’estiment être attaqués, diffamés ou injuriés par certains médias privés, dont principalement la presse écrite privée. Il est à rappeler qu’au mois de juin passé les autorités de la transition ont signé l’ordonnance portant sur la loi sur la dépénalisation des délits commis par voie de presse.
C’est l’Observatoire Nigérien Indépendant des Médias pour l’Ethique et la Déontologie (ONIMED), organe d’autorégulation, qui est l’initiateur de ce nouveau code. Selon le président de l’ONIMED, Monsieur Illa Kané, ce code servira de base de travail pour son institution, mais aussi contribuera à rendre plus responsable les journalistes nigériens dans la recherche et la diffusion de l’information et éviter au maximum les dérapages constatés.
Il faut rappeler que le 15 juillet 2010, l’ONIMED a rendu un communiqué dans lequel, elle attire l’attention des journalistes et des responsables des médias sur le fait que la dépénalisation des délits de presse ne signifie nullement une licence à tout faire, mais qu’elle appelle plutôt de leur part à un sens aigu de responsabilité et de professionnalisme dans le traitement de l’information. Selon nos sources, cette sortie de l’ONIMED, fait suite à sept (7) plaintes déposées auprès de l’Observatoire Nationale de la Communication par certains citoyens qui s’estiment être attaqués, diffamés ou injuriés par certains médias privés, dont principalement la presse écrite privée. Il est à rappeler qu’au mois de juin passé les autorités de la transition ont signé l’ordonnance portant sur la loi sur la dépénalisation des délits commis par voie de presse.