Le nouveau livre du directeur de l’Institut supérieur des sciences de l’information et de la communication (Issic) Abdou Latif Coulibaly : « Contes et mécomptes de l’Anoci : Le scandale du siècle » est, depuis hier, jeudi 13 août, sur le marché et cela de manière simultanée, à Paris et à Dakar chez les Editions l’Harmattan et Sentinelles, nous apprend une note signée par Babacar SALL, Directeur de publication Editions l’Harmattan, et publiée dans lagazette.sn
Dans cet ouvrage de 200 pages, « fruit d’une enquête de longue haleine s’appuyant sur des documents de première main et étayé par des références solides », le journaliste d’investigation Abdou Latif Coulibaly vient, selon son éditeur, de percer le plus grand mystère politico-financier de l’histoire contemporaine du Sénégal.
Pour le Directeur de publication Editions l’Harmattan l’auteur, en portant ses recherches au cœur de l’Anoci, « nous montre comment, par le prétexte d’un sommet, le régime présidentiel a mis sur pied un dispositif opaque dont les résultats constituent un désastre pour les finances publiques du Sénégal ».
Il passera ainsi au peigne fin les comptes de l’Anoci , en mettant en lumière les malversations financières, les trafics d’influence, les surfacturations, les règlements de comptes, les dissimulations, les détournements de fonds publics. Résultat des courses : c’est un bilan accablant que le journaliste écrivain sur la table. Ainsi, l’opinion se rendra compte que contrairement à ce qui est officiellement annoncé, les dépenses effectives sont au moins le double de ce qui est déclaré.
Abdou Latif Coulibaly s’est alors penché sur ces « dépassements budgétaires » pour mettre à nues des pratiques occultes au centre desquelles l’on retrouve le nom de Karim Wade, fils du président de la République.
« Le livre montre les pratiques peu orthodoxes de Karim Wade auprès des partenaires arabes qui ont exigé plus de garantie officielle. Ces exigences l’ont mis plusieurs fois en difficulté avec les souverainetés du Ministre d’Etat, ministre des Affaires Etrangères et de celles de l’Economie et des Finances », renseigne la même source.
Aussi, l’auteur est-il revenu sur les conditions d’attribution des marchés, l’entente illicite passée entre les entrepreneurs du BTP, les raisons de la liquidation de l’entrepreneur Bara Tall et les différences d’appréciation entre le Ministre de l’Economie et des Finances et Karim Wade sur la gestion des fonds alloués au Sommet.
A cette longue liste, il faut ajouter les chantiers programmés. Seuls 3 chantiers sur les 9 prévus sont réalisés dans des conditions approximatives, souligne la note.
L’auteur, selon le Directeur de publication Editions l’Harmattan, passe en revue, chiffres en main, tous les chantiers fictifs ou réels engagés par l’Anoci et dresse un bilan dont les résultats sont comparables à un crime financier et économique de grande envergure qui affecta le Sénégal pour longtemps.
Et Abdou Latif Coulibaly de révéler dans « Le scandale du siècle » que le président Wade a également signé un décret de virement de crédits en 2007 qui a permis à son fils de dépenser sans compter les deniers publics creusant ainsi l’endettement du pays à un niveau inédit.
En ce nouveau livre du journaliste d’investigation nous révèle, selon Babacar Sall, « toute la face cachée d’un dossier qui incrimine au plus haut niveau le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade et son fils qui malgré les contre performances constatées vient d’être propulsé à la plus haute responsabilité ministérielle ».
Dans cet ouvrage de 200 pages, « fruit d’une enquête de longue haleine s’appuyant sur des documents de première main et étayé par des références solides », le journaliste d’investigation Abdou Latif Coulibaly vient, selon son éditeur, de percer le plus grand mystère politico-financier de l’histoire contemporaine du Sénégal.
Pour le Directeur de publication Editions l’Harmattan l’auteur, en portant ses recherches au cœur de l’Anoci, « nous montre comment, par le prétexte d’un sommet, le régime présidentiel a mis sur pied un dispositif opaque dont les résultats constituent un désastre pour les finances publiques du Sénégal ».
Il passera ainsi au peigne fin les comptes de l’Anoci , en mettant en lumière les malversations financières, les trafics d’influence, les surfacturations, les règlements de comptes, les dissimulations, les détournements de fonds publics. Résultat des courses : c’est un bilan accablant que le journaliste écrivain sur la table. Ainsi, l’opinion se rendra compte que contrairement à ce qui est officiellement annoncé, les dépenses effectives sont au moins le double de ce qui est déclaré.
Abdou Latif Coulibaly s’est alors penché sur ces « dépassements budgétaires » pour mettre à nues des pratiques occultes au centre desquelles l’on retrouve le nom de Karim Wade, fils du président de la République.
« Le livre montre les pratiques peu orthodoxes de Karim Wade auprès des partenaires arabes qui ont exigé plus de garantie officielle. Ces exigences l’ont mis plusieurs fois en difficulté avec les souverainetés du Ministre d’Etat, ministre des Affaires Etrangères et de celles de l’Economie et des Finances », renseigne la même source.
Aussi, l’auteur est-il revenu sur les conditions d’attribution des marchés, l’entente illicite passée entre les entrepreneurs du BTP, les raisons de la liquidation de l’entrepreneur Bara Tall et les différences d’appréciation entre le Ministre de l’Economie et des Finances et Karim Wade sur la gestion des fonds alloués au Sommet.
A cette longue liste, il faut ajouter les chantiers programmés. Seuls 3 chantiers sur les 9 prévus sont réalisés dans des conditions approximatives, souligne la note.
L’auteur, selon le Directeur de publication Editions l’Harmattan, passe en revue, chiffres en main, tous les chantiers fictifs ou réels engagés par l’Anoci et dresse un bilan dont les résultats sont comparables à un crime financier et économique de grande envergure qui affecta le Sénégal pour longtemps.
Et Abdou Latif Coulibaly de révéler dans « Le scandale du siècle » que le président Wade a également signé un décret de virement de crédits en 2007 qui a permis à son fils de dépenser sans compter les deniers publics creusant ainsi l’endettement du pays à un niveau inédit.
En ce nouveau livre du journaliste d’investigation nous révèle, selon Babacar Sall, « toute la face cachée d’un dossier qui incrimine au plus haut niveau le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade et son fils qui malgré les contre performances constatées vient d’être propulsé à la plus haute responsabilité ministérielle ».