Une nuit de la « taille basse » à Dakar. A l’annonce de l’évènement, il était perçu par un certain public comme un défilé de mode de plus à Dakar. D’une certaine manière, la manifestation a épousé les contours d’une telle organisation. Le Théâtre national Daniel Sorano est archi- comble en ce 19 avril 2013. Les femmes font des va-et-vient naturellement, sans imposer à la cadence de leurs pas les codes déontologiques d’un défilé…Les murs de la salle rendent l’écho d’un mélange de sons : tams-tams, guitares, clavier…flirtent sur scène. Ngoné Ndiaye Guéweul donne le la. Les corps bougent, les postérieurs vrillent !
Les notes de musique baissent d’intensité. C’est le moment choisi par la cantatrice pour inviter MASSINGO sur scène. Habillée d’une « taille basse » bleue mettant en relief ses excitantes protubérances, Ngoné Ndiaye Guéweul reçoit, par un large sourire, le cadeau de l’artiste. Sous les « staccatos » des photographes, une femme se dévoile. Le visage tourné vers la gauche, tournant le dos au public une femme à demi-nu, chevelure tombant aux fesses, ceinture de perles colorées délimitant le tronc et les membres inférieurs.
Les notes de musique baissent d’intensité. C’est le moment choisi par la cantatrice pour inviter MASSINGO sur scène. Habillée d’une « taille basse » bleue mettant en relief ses excitantes protubérances, Ngoné Ndiaye Guéweul reçoit, par un large sourire, le cadeau de l’artiste. Sous les « staccatos » des photographes, une femme se dévoile. Le visage tourné vers la gauche, tournant le dos au public une femme à demi-nu, chevelure tombant aux fesses, ceinture de perles colorées délimitant le tronc et les membres inférieurs.