Ce dernier serait également au cœur d’un trafic international de stupéfiants, accuse le commissaire Keïta qui indique par ailleurs avoir saisi le ministre de l’Intérieur Pathé Seck pour l’informer des « dégâts » laissés par son prédécesseur à l’OCRTIS. Il s’agit, selon nos confrères du « Quotidien » qui ont lu ce rapport, d’un trafic international de stupéfiants impliquant des dealers nigérians et sénégalais entretenus par la hiérarchie de l’OCRTIS dirigé pendant dix (10) ans par Abdoulaye Niang.
Le rapport est d’autant plus stupéfiant qu’il révèle que l’ancien patron de la Police, « Codé Mbengue recevait des parts de l’argent du trafic » de drogue. Aussi, révèle-t-il, une filière nigériane de cocaïne a tissé des relations au plus haut sommet de la hiérarchie policière. Pis, « lors des cérémonies d’incinération des drogues, les boulettes brûlées ne contenaient pas de la cocaïne », dévoile le rapport.
Pour le moment, le DGPN, Abdoulaye Niang accusé dans ce rapport n’a pas encore donné sa version. Il a été injoignable sur son portable hier lundi et les messages qui lui ont été envoyés restent sans retour.
Le rapport est d’autant plus stupéfiant qu’il révèle que l’ancien patron de la Police, « Codé Mbengue recevait des parts de l’argent du trafic » de drogue. Aussi, révèle-t-il, une filière nigériane de cocaïne a tissé des relations au plus haut sommet de la hiérarchie policière. Pis, « lors des cérémonies d’incinération des drogues, les boulettes brûlées ne contenaient pas de la cocaïne », dévoile le rapport.
Pour le moment, le DGPN, Abdoulaye Niang accusé dans ce rapport n’a pas encore donné sa version. Il a été injoignable sur son portable hier lundi et les messages qui lui ont été envoyés restent sans retour.