Objectifs du millénaire : 10 ans, l'heure du bilan
Le 5 septembre dernier, en marge de son investiture, Paul Kagamé avait invité plusieurs chefs d’Etat africains à un sommet de préparation sur les Objectifs du millénaire pour le développement. Mardi, à la tribune des Nations unies, le président rwandais a fait la leçon à ses voisins : « Nous ne pouvons plus nous en remettre à la bonne volonté d’autres nations. Nous devons assumer notre rôle de dirigeants, prendre pleine possession de la question du développement de nos pays, et faire ce que nos citoyens attendent de nous ».
Quelques instants plus tard, le Gabonais Ali Bongo monte à la tribune. Le discours est différent : « Nos efforts en matière de développement ne peuvent pas être efficaces que s’ils s’accompagnent d’une mobilisation des ressources suffisantes et d’une forte augmentation des investissements directs. A cet effet, mon pays encourage les efforts en cours visant à institutionnaliser les mécanismes innovants des financements du développement. Dans cette perspective, l’efficacité d’un partenariat mondial en faveur du développement s’avère indispensable pour assurer une croissance économique durable dans nos pays ».
Tous les chefs d’Etat africains présents à New York s’accordent sur un point : il reste encore beaucoup à faire pour réaliser les 8 objectifs.
Le 5 septembre dernier, en marge de son investiture, Paul Kagamé avait invité plusieurs chefs d’Etat africains à un sommet de préparation sur les Objectifs du millénaire pour le développement. Mardi, à la tribune des Nations unies, le président rwandais a fait la leçon à ses voisins : « Nous ne pouvons plus nous en remettre à la bonne volonté d’autres nations. Nous devons assumer notre rôle de dirigeants, prendre pleine possession de la question du développement de nos pays, et faire ce que nos citoyens attendent de nous ».
Quelques instants plus tard, le Gabonais Ali Bongo monte à la tribune. Le discours est différent : « Nos efforts en matière de développement ne peuvent pas être efficaces que s’ils s’accompagnent d’une mobilisation des ressources suffisantes et d’une forte augmentation des investissements directs. A cet effet, mon pays encourage les efforts en cours visant à institutionnaliser les mécanismes innovants des financements du développement. Dans cette perspective, l’efficacité d’un partenariat mondial en faveur du développement s’avère indispensable pour assurer une croissance économique durable dans nos pays ».
Tous les chefs d’Etat africains présents à New York s’accordent sur un point : il reste encore beaucoup à faire pour réaliser les 8 objectifs.