Au moins, deux-cent-quatre-vingts travailleurs humanitaires ont été tués à travers le monde en 2023.
Un record, selon l’organisation des Nations unies, depuis l’institution en 2008 de la Journée mondiale de l’aide humanitaire.
Et l’année 2024 pourrait être pire’’, a notamment indiqué l’ONU dans une déclaration publiée sur Onu-Info, le site d’informations des Nations Unies à l’occasion de la commémoration lundi de la Journée mondiale de l’aide humanitaire.
L’Organisation des Nations unies ajoute que plus de la moitié des humanitaires tués, « soit 163 l’ont été à Gaza lors des trois premiers mois de la guerre entre Israël et le Hamas, principalement par des frappes aériennes israéliennes ».
D’après elle, la majorité des travailleurs humanitaires tués à Gaza, « sont des employés de l’agence de l’Onu pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ».
Ailleurs dans le monde, au Soudan et au Sud Soudan, par exemple, l’ONU a décompté respectivement 34 et 35 humanitaires qui y ont trouvé la mort.
Ces deux pays du nord-est de l’Afrique, confrontés à des guerres civiles, « subissent des conflits des plus meurtriers pour les humanitaires », déplore l’ONU.
Un record, selon l’organisation des Nations unies, depuis l’institution en 2008 de la Journée mondiale de l’aide humanitaire.
Et l’année 2024 pourrait être pire’’, a notamment indiqué l’ONU dans une déclaration publiée sur Onu-Info, le site d’informations des Nations Unies à l’occasion de la commémoration lundi de la Journée mondiale de l’aide humanitaire.
L’Organisation des Nations unies ajoute que plus de la moitié des humanitaires tués, « soit 163 l’ont été à Gaza lors des trois premiers mois de la guerre entre Israël et le Hamas, principalement par des frappes aériennes israéliennes ».
D’après elle, la majorité des travailleurs humanitaires tués à Gaza, « sont des employés de l’agence de l’Onu pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ».
Ailleurs dans le monde, au Soudan et au Sud Soudan, par exemple, l’ONU a décompté respectivement 34 et 35 humanitaires qui y ont trouvé la mort.
Ces deux pays du nord-est de l’Afrique, confrontés à des guerres civiles, « subissent des conflits des plus meurtriers pour les humanitaires », déplore l’ONU.