Le Président Bassirou Diomaye Faye a souligné, lundi, à New York, la nécessité de réformer la gouvernance mondiale dans le but de la faire adapter aux réalités actuelles.
Le chef de l’Etat sénégalais, en intervenant à la clôture du sommet des Nations Unies consacré à l’avenir, a notamment dit qu’il était nécessaire de réformer la gouvernance politique, économique et financière mondiale pour qu’elle reflète les réalités d’aujourd’hui.
Il a notamment dit qu’il restait beaucoup à faire pour garantir une pleine inclusion des pays en développement dans les instances internationales non sans admettre que des progrès avaient été récemment accomplis à travers, par exemple, la décision du G20 d’attribuer un siège de membre permanent à l’Afrique.
Le Président Faye a en même temps évoqué l’impératif de renforcer les actions en faveur de l’éducation et de la formation professionnelle et technique pour lutter contre l’ignorance et l’endoctrinement et doter les jeunes de métiers et de moyens d’épanouissement.
« Un tel investissement contribuera à lutter contre les inégalités et à la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD). Il est plus qu’urgent d’accélérer la mise en œuvre du plan de relance des ODD initié par le Secrétaire général des Nations Unies », a-t-il fait valoir dans son discours dont l’APS a reçu copie.
Il n’a pas manqué d’appeler à davantage investir dans la connectivité et la digitalisation par le renforcement des infrastructures numériques, l’innovation et le soutien à l’industrie créative des jeunes.
« Nous devons offrir aux jeunes les moyens de se former, de réussir et de s’épanouir. Ils doivent être au cœur de nos actions et associés dans la gestion et les prises de décisions en tant que vecteurs de paix et acteurs de développement », a martelé Bassirou Diomaye Faye.
Le chef de l’Etat sénégalais, en intervenant à la clôture du sommet des Nations Unies consacré à l’avenir, a notamment dit qu’il était nécessaire de réformer la gouvernance politique, économique et financière mondiale pour qu’elle reflète les réalités d’aujourd’hui.
Il a notamment dit qu’il restait beaucoup à faire pour garantir une pleine inclusion des pays en développement dans les instances internationales non sans admettre que des progrès avaient été récemment accomplis à travers, par exemple, la décision du G20 d’attribuer un siège de membre permanent à l’Afrique.
Le Président Faye a en même temps évoqué l’impératif de renforcer les actions en faveur de l’éducation et de la formation professionnelle et technique pour lutter contre l’ignorance et l’endoctrinement et doter les jeunes de métiers et de moyens d’épanouissement.
« Un tel investissement contribuera à lutter contre les inégalités et à la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD). Il est plus qu’urgent d’accélérer la mise en œuvre du plan de relance des ODD initié par le Secrétaire général des Nations Unies », a-t-il fait valoir dans son discours dont l’APS a reçu copie.
Il n’a pas manqué d’appeler à davantage investir dans la connectivité et la digitalisation par le renforcement des infrastructures numériques, l’innovation et le soutien à l’industrie créative des jeunes.
« Nous devons offrir aux jeunes les moyens de se former, de réussir et de s’épanouir. Ils doivent être au cœur de nos actions et associés dans la gestion et les prises de décisions en tant que vecteurs de paix et acteurs de développement », a martelé Bassirou Diomaye Faye.