Trois responsables des forces gouvernementales, dont Martial Mangok, le chef de la garde du président Salva Kiir, Gabriel Jok Riak et le général Santino Deng Wol sont visés par ces premières mesures du Conseil de Sécurité.
Dans le camp des rebelles, Simon Dual, James Koang Chuol et Peter Gadet, Chef d'état-major adjoint des forces rebelles, figurent également sur le banc des accusés.
Les sanctions incluent l’interdiction de voyager ainsi que le gel de fonds et d'avoirs financiers.
"C'est une décision du Conseil qui donne la preuve selon laquelle, ceux qui commettent des atrocités et font obstacles à la paix devront en subir les conséquences", a déclaré dans un communiqué la représentante américaine à l'ONU, Samantha Power.
Elle a aussi appelé les deux camps à mettre fin aux combats et entamer des négociations pour rétablir un gouvernement de transition.