« C’est merveilleux d’être de retour au Kenya, a lancé le président américain. Je suis fier d’être le premier président américain à visiter le Kenya, et bien sûr cette visite a des aspects qui me touchent personnellement, parce que si je m’appelle Barack Hussein Obama, c’est pour une raison. Mon père vient de ces contrées, j’ai de la famille et des amis ici, et au fil de mes visites ici dans les rues de Nairobi, j’ai appris à connaître et à apprécier la chaleur et l’esprit du peuple kényan. »
L'Afrique en marche : écoutez le président américain
25/07/2015 - par Nicolas Champeaux Écouter
« Je voulais venir ici parce que l’Afrique va de l’avant. Le taux de croissance de l’Afrique est l’un des plus robustes du monde. Les gens commencent à sortir de la pauvreté, les salaires augmentent, la classe moyenne s’élargit, et des jeunes comme vous embrassent les technologies pour changer la façon dont les Africains font des affaires », s'est réjoui le président américain.
« Cela crée des opportunités pour les Africains et pour le monde, a continué M. Obama. Cela génère plus de croissance, plus d’échanges, plus de commerce, et cela crée des emplois dans tous nos pays. C’est bon pour nous tous. Ce continent doit être un futur centre de la croissance mondiale, et pas seulement au service de la croissance africaine. »
Barack Obama, dans son discours résolument optimiste, a loué les vertus de l’entrepreunariat, qui offre une alternative positive, aux idéologies de la violence et de la division, idéologies qui, trop souvent, a ajouté Barack Obama, comblent le vide des jeunes qui ne se voient pas d’avenir. Une allusion à peine voilée à la radicalisation de certains jeunes au Kenya qui ont choisi de rejoindre les rangs des insurgés al-Shebab.
Deux des trois invités avec qui ont Obama et Kenyatta ont conversé, devant les mille délégués, étaient des femmes. Barack Obama leur a dit que les femmes, malgré les bâtons trop souvent glissé dans leurs roues, étaient des entrepreneurs en puissance et a ajouté qu’elles reversaient davantage de dividendes à leur communauté. A ce sujet le président américain a annoncé l’ouverture d’un troisième centre pour accompagner les femmes chefs d’entreprises en Afrique, sera bientôt ouvert au Mali. Il en existe déjà deux : un au Kenya et un autre en Zambie.
Les présidents américain et kenyan ont témoigné d'une convergence de vue sur nombre de sujets et Uhuru Kenyatta a répondu à la chaîne de télévision câblée CNN, qui avait déclaré que Barack Obama se rendait dans un foyer de terroristes, que le Kenya était au contraire « le foyer d’une culture vibrante, le foyer d’un peuple merveilleux, le foyer d’une beauté naturelle spectaculaire ». « Lorsque vous rentrerez chez vous, et lors de vos voyages, partagez votre expérience en Afrique et dites à tout le monde que l’Afrique est ouverte et prête pour le business » a lancé le président kenyan à son homologue.
L'Afrique en marche : écoutez le président américain
25/07/2015 - par Nicolas Champeaux Écouter
« Je voulais venir ici parce que l’Afrique va de l’avant. Le taux de croissance de l’Afrique est l’un des plus robustes du monde. Les gens commencent à sortir de la pauvreté, les salaires augmentent, la classe moyenne s’élargit, et des jeunes comme vous embrassent les technologies pour changer la façon dont les Africains font des affaires », s'est réjoui le président américain.
« Cela crée des opportunités pour les Africains et pour le monde, a continué M. Obama. Cela génère plus de croissance, plus d’échanges, plus de commerce, et cela crée des emplois dans tous nos pays. C’est bon pour nous tous. Ce continent doit être un futur centre de la croissance mondiale, et pas seulement au service de la croissance africaine. »
Barack Obama, dans son discours résolument optimiste, a loué les vertus de l’entrepreunariat, qui offre une alternative positive, aux idéologies de la violence et de la division, idéologies qui, trop souvent, a ajouté Barack Obama, comblent le vide des jeunes qui ne se voient pas d’avenir. Une allusion à peine voilée à la radicalisation de certains jeunes au Kenya qui ont choisi de rejoindre les rangs des insurgés al-Shebab.
Deux des trois invités avec qui ont Obama et Kenyatta ont conversé, devant les mille délégués, étaient des femmes. Barack Obama leur a dit que les femmes, malgré les bâtons trop souvent glissé dans leurs roues, étaient des entrepreneurs en puissance et a ajouté qu’elles reversaient davantage de dividendes à leur communauté. A ce sujet le président américain a annoncé l’ouverture d’un troisième centre pour accompagner les femmes chefs d’entreprises en Afrique, sera bientôt ouvert au Mali. Il en existe déjà deux : un au Kenya et un autre en Zambie.
Les présidents américain et kenyan ont témoigné d'une convergence de vue sur nombre de sujets et Uhuru Kenyatta a répondu à la chaîne de télévision câblée CNN, qui avait déclaré que Barack Obama se rendait dans un foyer de terroristes, que le Kenya était au contraire « le foyer d’une culture vibrante, le foyer d’un peuple merveilleux, le foyer d’une beauté naturelle spectaculaire ». « Lorsque vous rentrerez chez vous, et lors de vos voyages, partagez votre expérience en Afrique et dites à tout le monde que l’Afrique est ouverte et prête pour le business » a lancé le président kenyan à son homologue.
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