Le collectif des résidents des immeubles de Liberté 6, représenté par son président Moussé Guèye, a exprimé son désarroi face à leur incapacité de clôturer leur cité et de démarrer les travaux de réaménagement. Lors de son intervention sur l'émission MidiKeng sur PressAfriktv HD, Moussé Guèye a dénoncé l'occupation illégale de leur espace, qu'il décrit comme un domaine privé. Cette situation, selon le président du collectif, empêche les résidents de mettre en œuvre les améliorations nécessaires pour leur cadre de vie.
Moussé Guèye a dénoncé avec vigueur cette occupation illégale de leur domaine privé qui leur empêche de clôturer leur cité et de faire des travaux. Selon lui, « quand les résidents ont décidé de prendre leur sort en main, c’est-à-dire clôturer la cité et faire leurs travaux d’aménagement, il s’est trouvé qu’il y a des gens qui se trouvaient à l’intérieur. Les autorités ont été saisies et on leur a fait comprendre qu'ici, c’est une propriété privée, il faut que ces gens-là partent parce qu’on ne peut même pas commencer nos travaux parce qu’il y a des gens sur place. »
Cependant, il affirme que les autorités ont fermé les yeux sur cette affaire, car déjà, « il y a un marché illégal qui est sur place, il y a les taxis "clandos", mais aussi, il y a les mécaniciens ».
Il poursuit « que le problème est de pire en pire parce que là où il y a le garage des mécaniciens, ils y font de la peinture pour voitures et tout le monde sait que cette peinture est nocive et à cause de cela une de nos voisines a perdu son bébé. »
Par ailleurs, il déclare que « nous avons signalé cela depuis le 10 février notre collectif écrit aux autorités, on fait toutes les démarches nécessaires… D’ailleurs au début du mois de juin, le ministre de l’urbanisme avait servi des sommations, mais rien de cela n’as été fait pour ces gens s’en aille. »
En outre, Béa Mané, présidente de l’association des jeunes de la Sicap, affirme que ce sont les mêmes problèmes qui sont constatés au niveau de la Sicap « les problèmes sont identiques… Récemment, nous avons vu au niveau du rond-point des chevaux attachés, il y a aussi des laveurs tout, ce sont des problèmes dans le combat que nous menons seuls, mais nous y mettons du tiens et nous espérons la Sicap va retrouver son lustre d’antan ».
De plus, elle avance que les « anciens directeurs de la Sicap ne se sont jamais impliqués ni de près ni de loin dans leurs combats « nous avons toujours sollicité les anciens DG de la Sicap, ils nous n’ont jamais répondu, ni accompagnés, mais nous n’allons pas abdiquer et nous avons écrit au nouveau DG de la Sicap et nous espérons avoir une réponse favorable afin qu’il nous accompagne ».
Moussé Guèye a dénoncé avec vigueur cette occupation illégale de leur domaine privé qui leur empêche de clôturer leur cité et de faire des travaux. Selon lui, « quand les résidents ont décidé de prendre leur sort en main, c’est-à-dire clôturer la cité et faire leurs travaux d’aménagement, il s’est trouvé qu’il y a des gens qui se trouvaient à l’intérieur. Les autorités ont été saisies et on leur a fait comprendre qu'ici, c’est une propriété privée, il faut que ces gens-là partent parce qu’on ne peut même pas commencer nos travaux parce qu’il y a des gens sur place. »
Cependant, il affirme que les autorités ont fermé les yeux sur cette affaire, car déjà, « il y a un marché illégal qui est sur place, il y a les taxis "clandos", mais aussi, il y a les mécaniciens ».
Il poursuit « que le problème est de pire en pire parce que là où il y a le garage des mécaniciens, ils y font de la peinture pour voitures et tout le monde sait que cette peinture est nocive et à cause de cela une de nos voisines a perdu son bébé. »
Par ailleurs, il déclare que « nous avons signalé cela depuis le 10 février notre collectif écrit aux autorités, on fait toutes les démarches nécessaires… D’ailleurs au début du mois de juin, le ministre de l’urbanisme avait servi des sommations, mais rien de cela n’as été fait pour ces gens s’en aille. »
En outre, Béa Mané, présidente de l’association des jeunes de la Sicap, affirme que ce sont les mêmes problèmes qui sont constatés au niveau de la Sicap « les problèmes sont identiques… Récemment, nous avons vu au niveau du rond-point des chevaux attachés, il y a aussi des laveurs tout, ce sont des problèmes dans le combat que nous menons seuls, mais nous y mettons du tiens et nous espérons la Sicap va retrouver son lustre d’antan ».
De plus, elle avance que les « anciens directeurs de la Sicap ne se sont jamais impliqués ni de près ni de loin dans leurs combats « nous avons toujours sollicité les anciens DG de la Sicap, ils nous n’ont jamais répondu, ni accompagnés, mais nous n’allons pas abdiquer et nous avons écrit au nouveau DG de la Sicap et nous espérons avoir une réponse favorable afin qu’il nous accompagne ».