Le cas Bah Diakhaté devient quasiment une opposition entre deux camps. Après le communiqué de l’Alliance pour la République (APR) qui a pris sans ambiguïté la défense du sieur Bah Diakhaté, c’est au tour de Maïmouna Bousso.
Le membre de la Coalition « Diomaye Président » lors de la dernière présidentielle a lâché, à travers une vidéo publiée : « On ne se laissera plus faire. J’avertis tout le monde. En ce moment, j’appelle tous les patriotes qui sont au Sénégal de se mobiliser et de se tenir prêts parce qu’il y a des choses qu’on ne peut plus tolérer dans ce pays. J’appelle tous les patriotes du pays ».
Se montrant très remontée contre les « insultes et accusations » subis par ses « proches » de Pastef, Maïmouna Bousso se démarque en bouclier et compte rendre la pareille si de telles situations se reproduisent.
« Aujourd’hui c’est mercredi (hier), si quelqu’un ose insulter des personnes, notamment de notre camp, nous allons mobiliser nos ressources pour faire face. Nous n’allons pas descendre sur le terrain pour manifester mais nous irons directement chez l’insulteurs pour régler son compte », a-t-elle menacé. Avant d’ajouter sur un ton plus fort : « on n’acceptera plus de se faire insulter publiquement et de laisser passer. Soit la justice fait son travail ou c’est nous qui allons le régler à notre manière. Un point, c’est tout ».
Le membre de la Coalition « Diomaye Président » lors de la dernière présidentielle a lâché, à travers une vidéo publiée : « On ne se laissera plus faire. J’avertis tout le monde. En ce moment, j’appelle tous les patriotes qui sont au Sénégal de se mobiliser et de se tenir prêts parce qu’il y a des choses qu’on ne peut plus tolérer dans ce pays. J’appelle tous les patriotes du pays ».
Se montrant très remontée contre les « insultes et accusations » subis par ses « proches » de Pastef, Maïmouna Bousso se démarque en bouclier et compte rendre la pareille si de telles situations se reproduisent.
« Aujourd’hui c’est mercredi (hier), si quelqu’un ose insulter des personnes, notamment de notre camp, nous allons mobiliser nos ressources pour faire face. Nous n’allons pas descendre sur le terrain pour manifester mais nous irons directement chez l’insulteurs pour régler son compte », a-t-elle menacé. Avant d’ajouter sur un ton plus fort : « on n’acceptera plus de se faire insulter publiquement et de laisser passer. Soit la justice fait son travail ou c’est nous qui allons le régler à notre manière. Un point, c’est tout ».