Auteur du livre «Sénégal: Thérapie pour un pays blessé», le leader du Front pour le Socialisme et la Démocratie FSD / BJ estime «avoir suffisamment fréquenté, traversé, observé et pratiqué le Sénégal pour en parler, en parler pour le rendre meilleur, pour l’exorciser de ses démons, pour titiller la part de révolte qui sommeille en chaque citoyen».
«On ne le dit pas assez mais nous avons une Nation déconstruite et ce n’est pas dénigrer que de le dire. C’est prendre conscience qu’il y a nécessairement quelque chose à construire ou à reconstruire. J’adhère volontiers que notre pays est stable et que nous avons acquis des avancées démocratiques significatives mais tout cela me parait bien fragile au regard de toutes les blessures que j’ai évoquées et qui sont la rampe d’un individualisme exacerbé», tonne Cheikh Bamba Dièye.
Selon le membre de la nouvelle coalition de partis de l’opposition, Mankoo Taxawu Senegaal, «ce n’est pas pour rien que le concept de nouveau type de Sénégalais a suscité une adhésion incommensurable même si à l’arrivée tout le monde considère que c’est l’autre qui doit changer, pas forcément lui-même. Ce n’est pas non plus un hasard si ces dernières années, nous avons beaucoup vu ressurgir les paroles des grandes figures religieuses. J’ai l’intime conviction que placer au cœur de nos sociétés, cette notion nous permettrait de poser des bases solides d’un développement humain et matériellement… ».
«La première des responsabilités est d’abord individuelle. Je ne serai jamais en reste pour rappeler les pouvoirs publics à leur responsabilité mais lorsqu’on contourne délibérément les règles pour son confort personnel,…Lorsqu’on décide délibérément d’apporter son vote à des responsables à la moralité douteuse, il est incohérent de s’en plaindre ensuite…».
Initialement prévue à la Chambre de Commerce de Dakar, la cérémonie de dédicace du livre a finalement eu lieu à l’hôtel de ville de Dakar.
«On ne le dit pas assez mais nous avons une Nation déconstruite et ce n’est pas dénigrer que de le dire. C’est prendre conscience qu’il y a nécessairement quelque chose à construire ou à reconstruire. J’adhère volontiers que notre pays est stable et que nous avons acquis des avancées démocratiques significatives mais tout cela me parait bien fragile au regard de toutes les blessures que j’ai évoquées et qui sont la rampe d’un individualisme exacerbé», tonne Cheikh Bamba Dièye.
Selon le membre de la nouvelle coalition de partis de l’opposition, Mankoo Taxawu Senegaal, «ce n’est pas pour rien que le concept de nouveau type de Sénégalais a suscité une adhésion incommensurable même si à l’arrivée tout le monde considère que c’est l’autre qui doit changer, pas forcément lui-même. Ce n’est pas non plus un hasard si ces dernières années, nous avons beaucoup vu ressurgir les paroles des grandes figures religieuses. J’ai l’intime conviction que placer au cœur de nos sociétés, cette notion nous permettrait de poser des bases solides d’un développement humain et matériellement… ».
«La première des responsabilités est d’abord individuelle. Je ne serai jamais en reste pour rappeler les pouvoirs publics à leur responsabilité mais lorsqu’on contourne délibérément les règles pour son confort personnel,…Lorsqu’on décide délibérément d’apporter son vote à des responsables à la moralité douteuse, il est incohérent de s’en plaindre ensuite…».
Initialement prévue à la Chambre de Commerce de Dakar, la cérémonie de dédicace du livre a finalement eu lieu à l’hôtel de ville de Dakar.
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