Le grand "Mbapatt" aura bien lieu le 26 février 2012. Ce "Mbapatt" tant attendu par les férus de combats épiques, acharnés, ces amateurs de sensations fortes, mais aussi et surtout, amoureux de beaux gestes techniques et de prouesses surhumaines. Ce "Mbapatt" quinquennal devrait réunir les meilleurs Champions de l'arène politique.
Les écuries sont en train de préparer leurs champions qui seront leurs porte-drapeaux à ce grand rassemblement du savoir, de la technique, de la force et de l'opiniâtreté.
Les marabouts sont en retraite spirituelle pour préparer les meilleurs talismans magiques, qui permettront à leurs protégés, de ne pas chuter le grand jour, celui de vérité.
Mais le roi des arènes n'est pas le bienvenu dans ce "Mbapatt" pourtant réservé aux meilleurs lutteurs du pays. Abdourahmane Ndiaye Falang, Soulèye Ndoye, Falaye Baldé, Double Less, Mbaye Gueye, Boy Bambara, Doudou Baka Sarr ne seront pas fiers de ces combattants qui refusent d'affronter le Roi des arènes, le 26 février 2012.
Ces anciennes gloires faisaient le tour du Sénégal pour rencontrer les meilleurs lutteurs afin de les battre, dans le seul but de devenir le ROI incontestable et incontesté. Dès que ces derniers entendaient "Ki mofi meun", ils ne dormaient plus. Leur unique préoccupation étant de détrôner "kifi meun".
Ces anciennes gloires, pétris de valeurs et de qualités, n'auraient jamais souhaité récupérer le Drapeau des mains du roi des arènes par disqualification.
Leur fierté et leur amour propre le leur interdisaient. Ils ne ramassaient jamais un drapeau jeté par terre, ils l'arrachaient toujours des mains du porteur, après l'avoir battu à plate couture.
Et comme disait Mohamed Ali, le célèbre boxeur Américain : "Pour être le meilleur, il faudrait bien battre les meilleurs."
Mais les écuries du Sénégal, même en coalition, ont peur du Roi des arènes. Ils l'évitent en arguant qu'il a déjà assez gagné, qu'il a participé à trop de "Mbapatt", qu'il est trop vieux, qu'il n'a plus de supporters... Mais que leur coûterait donc le fait de l'affronter dans un dernier combat de gladiateurs, et de le battre au vu et au su de tous. Ou voudraient ils confirmer Pierre Corneille dans le Cid qui disait :"A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire".
Le Roi des arènes était rentré dans l'histoire un certain 19 mars 2000 à l'issue d'un grand "Mbapatt" électoral, les amateurs voudraient qu'il défende son drapeau lors d'un dernier grand "Mbapatt" prévu le 26 février 2012.
Les férus de lutte ne veulent pas d'une disqualification par le CNG, car cela leur priverait des séances de backs, des "gal gal" et des "caxabals" du Roi des arènes. Les amateurs ont peur, après une disqualification du Roi des arènes par délit de "Kharagne", que le "Mbapatt" du 26 février 2012 devienne insipide.
Aujourd'hui, nous devons éviter la violence dans l'arène. Pour cela, il faudrait laisser toutes les écuries et coalitions d'écuries, présenter leur Champions en toute liberté. Tous les combattants doivent communiquer avec leurs supporters pour qu'ils gardent leur calme et qu'ils se préparent à porter leurs habits de lumière et venir les pousser à la victoire le 26 février 2012.
Et qu'au soir de ce jour tant attendu, le meilleur puisse gagner dans l'humilité, et que les battus acceptent leur défaite dans la dignité et le fair-play. Le Sénégal reste Un et Indivisible, il nous appartient à nous Tous, donc nul n'a le droit de mettre en péril notre paix sociale que nous envie le monde entier.
"Wacc ma daan nalla amoul fènn, kou dann da ngay fétté Kaw". Vivement que le meilleur gagne.
Les écuries sont en train de préparer leurs champions qui seront leurs porte-drapeaux à ce grand rassemblement du savoir, de la technique, de la force et de l'opiniâtreté.
Les marabouts sont en retraite spirituelle pour préparer les meilleurs talismans magiques, qui permettront à leurs protégés, de ne pas chuter le grand jour, celui de vérité.
Mais le roi des arènes n'est pas le bienvenu dans ce "Mbapatt" pourtant réservé aux meilleurs lutteurs du pays. Abdourahmane Ndiaye Falang, Soulèye Ndoye, Falaye Baldé, Double Less, Mbaye Gueye, Boy Bambara, Doudou Baka Sarr ne seront pas fiers de ces combattants qui refusent d'affronter le Roi des arènes, le 26 février 2012.
Ces anciennes gloires faisaient le tour du Sénégal pour rencontrer les meilleurs lutteurs afin de les battre, dans le seul but de devenir le ROI incontestable et incontesté. Dès que ces derniers entendaient "Ki mofi meun", ils ne dormaient plus. Leur unique préoccupation étant de détrôner "kifi meun".
Ces anciennes gloires, pétris de valeurs et de qualités, n'auraient jamais souhaité récupérer le Drapeau des mains du roi des arènes par disqualification.
Leur fierté et leur amour propre le leur interdisaient. Ils ne ramassaient jamais un drapeau jeté par terre, ils l'arrachaient toujours des mains du porteur, après l'avoir battu à plate couture.
Et comme disait Mohamed Ali, le célèbre boxeur Américain : "Pour être le meilleur, il faudrait bien battre les meilleurs."
Mais les écuries du Sénégal, même en coalition, ont peur du Roi des arènes. Ils l'évitent en arguant qu'il a déjà assez gagné, qu'il a participé à trop de "Mbapatt", qu'il est trop vieux, qu'il n'a plus de supporters... Mais que leur coûterait donc le fait de l'affronter dans un dernier combat de gladiateurs, et de le battre au vu et au su de tous. Ou voudraient ils confirmer Pierre Corneille dans le Cid qui disait :"A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire".
Le Roi des arènes était rentré dans l'histoire un certain 19 mars 2000 à l'issue d'un grand "Mbapatt" électoral, les amateurs voudraient qu'il défende son drapeau lors d'un dernier grand "Mbapatt" prévu le 26 février 2012.
Les férus de lutte ne veulent pas d'une disqualification par le CNG, car cela leur priverait des séances de backs, des "gal gal" et des "caxabals" du Roi des arènes. Les amateurs ont peur, après une disqualification du Roi des arènes par délit de "Kharagne", que le "Mbapatt" du 26 février 2012 devienne insipide.
Aujourd'hui, nous devons éviter la violence dans l'arène. Pour cela, il faudrait laisser toutes les écuries et coalitions d'écuries, présenter leur Champions en toute liberté. Tous les combattants doivent communiquer avec leurs supporters pour qu'ils gardent leur calme et qu'ils se préparent à porter leurs habits de lumière et venir les pousser à la victoire le 26 février 2012.
Et qu'au soir de ce jour tant attendu, le meilleur puisse gagner dans l'humilité, et que les battus acceptent leur défaite dans la dignité et le fair-play. Le Sénégal reste Un et Indivisible, il nous appartient à nous Tous, donc nul n'a le droit de mettre en péril notre paix sociale que nous envie le monde entier.
"Wacc ma daan nalla amoul fènn, kou dann da ngay fétté Kaw". Vivement que le meilleur gagne.
Autres articles
-
Le Sénégal entre crise de la dette et souveraineté économique (Abdoul Aly Kane)
-
Macron en quête de soutien en Afrique amorce une série de visites sous tension à Djibouti et en Éthiopie
-
Réponse à Papa Malick NDOUR (Par Mady CISSÉ)
-
Lettre au Président Diomaye (Par Samba Diouldé Thiam)
-
Au Sénégal le juridisme politique se substitue à l’application de la loi suivant l’Esprit, la lettre et la légitimité (Par Denis Ndour)