« Voici le grand jour, Mari Djata (Soundjata). Je te parle, Maghan, fils de Sogolon. Les eaux du Djoliba peuvent effacer la souillure du corps; mais elles ne peuvent laver d'un affront. Lève-toi jeune lion, rugis, et que la brousse sache qu'elle a désormais un maître ».
Cette épigraphe que nous empruntons à l’excellent...