Le Président du Mouvement politique citoyen Luy Jot Jotna, Cheikh Tidiane Gadio a invité la presse à être vigilante face aux rumeurs organisées contre les mouvements citoyens pour les discréditer.
Ce samedi 28 Août, à l’occasion de la conférence de presse du cadre de concertation des mouvements citoyens, l’ancien Ministre des Affaires Etrangères du Sénégal a indiqué que «des rumeurs sont organisées systématiquement par ceux qui n’arrivent pas à engager le débat politique avec nous sur les messages que nous avançons». Et de s’interroger: «est-ce qu’ils ont des arguments contre nos messages, qu’est ce qu’ils proposent aux sénégalais ?».
Selon lui, ils préfèrent attaquer la personnalité des gens. «On invente des histoires sur eux et on fait le tour des rédactions ou on les distille par les chauffeurs de taxi, les renseignements généraux organisent des rumeurs qui font le tour du Sénégal et de la Diaspora rapidement» a-t-il fait comprendre.
Cheikh Tidiane Gadio d’insister: «nous comptons sur la vigilance de la presse parce qu’en plus du fait que vous faites votre travail très professionnellement, vous avez aussi le droit d’avoir accès à nous pour vérifier certaines informations rapidement, mais vous avez le droit à la vigilance».
Ce samedi 28 Août, à l’occasion de la conférence de presse du cadre de concertation des mouvements citoyens, l’ancien Ministre des Affaires Etrangères du Sénégal a indiqué que «des rumeurs sont organisées systématiquement par ceux qui n’arrivent pas à engager le débat politique avec nous sur les messages que nous avançons». Et de s’interroger: «est-ce qu’ils ont des arguments contre nos messages, qu’est ce qu’ils proposent aux sénégalais ?».
Selon lui, ils préfèrent attaquer la personnalité des gens. «On invente des histoires sur eux et on fait le tour des rédactions ou on les distille par les chauffeurs de taxi, les renseignements généraux organisent des rumeurs qui font le tour du Sénégal et de la Diaspora rapidement» a-t-il fait comprendre.
Cheikh Tidiane Gadio d’insister: «nous comptons sur la vigilance de la presse parce qu’en plus du fait que vous faites votre travail très professionnellement, vous avez aussi le droit d’avoir accès à nous pour vérifier certaines informations rapidement, mais vous avez le droit à la vigilance».