(Cojer) a pris la défense la défense du ministère de l’Intérieur disqualifié par une frange de l’opposition dans l’organisation des élections.
La Convergence des Jeunesses Républicaines (COJER) félicite le ministre de l’Intérieur "pour la célérité avec laquelle il a engagé les concertations avec les partis politiques". Thérèse Faye et Cie rejettent ainsi «l’argument selon le lequel le ministre de l’Intérieur n’est pas indiqué pour organiser des élections».
Aux yeux des jeunes de l'APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel), «cette question est dépassée et réglée depuis belle lurette et ce combat engagé par certaines composantes de l’opposition est surannée ».
Relevant "qu’au Sénégal, le processus électoral est fiable, transparent et robuste", la COJER d’indiquer que "c’est ce même processus électoral qui a permis à notre pays d’enregistrer deux alternances démocratiques conformément aux vœux des populations exprimés dans les urnes".
"Cette frange de l’opposition devrait délaisser la politique politicienne pour plutôt se concentrer sur des questions essentielles telles que la modernisation du rôle des partis politiques, le mode de financement des partis, l’adaptation ou non de la loi du 06 mai 1981 sur les partis politiques à l’évolution de notre démocratie, le statut de l’opposition et de son chef et l’amélioration du processus électoral", conclut la convergence.
La Convergence des Jeunesses Républicaines (COJER) félicite le ministre de l’Intérieur "pour la célérité avec laquelle il a engagé les concertations avec les partis politiques". Thérèse Faye et Cie rejettent ainsi «l’argument selon le lequel le ministre de l’Intérieur n’est pas indiqué pour organiser des élections».
Aux yeux des jeunes de l'APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel), «cette question est dépassée et réglée depuis belle lurette et ce combat engagé par certaines composantes de l’opposition est surannée ».
Relevant "qu’au Sénégal, le processus électoral est fiable, transparent et robuste", la COJER d’indiquer que "c’est ce même processus électoral qui a permis à notre pays d’enregistrer deux alternances démocratiques conformément aux vœux des populations exprimés dans les urnes".
"Cette frange de l’opposition devrait délaisser la politique politicienne pour plutôt se concentrer sur des questions essentielles telles que la modernisation du rôle des partis politiques, le mode de financement des partis, l’adaptation ou non de la loi du 06 mai 1981 sur les partis politiques à l’évolution de notre démocratie, le statut de l’opposition et de son chef et l’amélioration du processus électoral", conclut la convergence.
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