Mamadou Diop Decroix a relevé les lenteurs dans l’audit du fichier électoral et du processus électoral. Il soutient que les lenteurs dans l’audit du fichier et du processus électoral sont aussi à relever. C’est pourquoi il faut craindre le pire avec le statuquo au moment où la tenue des élections locales est fixée à mars 2021.
« J’ai appris qu’ils ont évoqué le dialogue dans leur attendu pour fonder les aménagements apportés dans l’appareil d’Etat. C’est totalement indu. Le dialogue n’est pas achevé pour qu’on puisse l’évoquer en quoi que ce soit car, hormis la commission politique qui a déposé un rapport d’étape et non un rapport final, aucune autre commission n’a remis son rapport », a dit Diop Decroix.
Quant à la commission politique, parlons-en !, a-t-il poursuivi, « aucun des points clés de la plateforme du Front de résistance nationale n’a connu de consensus au niveau de ses travaux. A ce dialogue, le camp du pouvoir s’est opposé à l’organe indépendant chargé d’organiser les élections. Il a également rejeté la suppression de l’article 80 du code pénal et le délit d’offense au chef de l’Etat qui permet à l’exécutif, depuis 50 ans, d’envoyer en prison tout opposant qu’il désire embastiller ».
Il a rappelé que « la délégation du pouvoir au dialogue politique a rejeté l’aménagement proposé par l’opposition concernant le cumul du statut de chef de l’Etat et celui de chef de parti politique. Elle a aussi récusé le bulletin unique sans compter la question du parrainage-exclusion de candidats à la présidentielle qui avait justifié et justifie aujourd’hui encore le combat pour que Karim Meïssa Wade et Khalifa Ababacar Sall retrouvent leurs droits civils et politiques ».
« J’ai appris qu’ils ont évoqué le dialogue dans leur attendu pour fonder les aménagements apportés dans l’appareil d’Etat. C’est totalement indu. Le dialogue n’est pas achevé pour qu’on puisse l’évoquer en quoi que ce soit car, hormis la commission politique qui a déposé un rapport d’étape et non un rapport final, aucune autre commission n’a remis son rapport », a dit Diop Decroix.
Quant à la commission politique, parlons-en !, a-t-il poursuivi, « aucun des points clés de la plateforme du Front de résistance nationale n’a connu de consensus au niveau de ses travaux. A ce dialogue, le camp du pouvoir s’est opposé à l’organe indépendant chargé d’organiser les élections. Il a également rejeté la suppression de l’article 80 du code pénal et le délit d’offense au chef de l’Etat qui permet à l’exécutif, depuis 50 ans, d’envoyer en prison tout opposant qu’il désire embastiller ».
Il a rappelé que « la délégation du pouvoir au dialogue politique a rejeté l’aménagement proposé par l’opposition concernant le cumul du statut de chef de l’Etat et celui de chef de parti politique. Elle a aussi récusé le bulletin unique sans compter la question du parrainage-exclusion de candidats à la présidentielle qui avait justifié et justifie aujourd’hui encore le combat pour que Karim Meïssa Wade et Khalifa Ababacar Sall retrouvent leurs droits civils et politiques ».
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