Le nouveau coordonnateur national, Cheikh Ahmadou Ngom, a souligné que "les résultats obtenus après dix ans de mise en œuvre du Prodac n’ont pas répondu aux attentes ni aux investissements réalisés." Cette affirmation a alimenté les discussions lors de l'atelier de pré-validation du document d'orientation stratégique et opérationnelle à l'horizon 2029. Ce conclave vise à trouver des solutions concrètes pour intégrer le Prodac au cœur de la souveraineté alimentaire et de l'entrepreneuriat agricole, tout en créant des opportunités d'emploi pour les jeunes. Abdou Samb, Président du Conseil de Surveillance du Prodac, a déclaré que cet atelier est crucial pour lutter contre la précarité en milieu rural et favoriser l'entrepreneuriat agricole des jeunes, tout en contribuant à la souveraineté alimentaire du pays.
En faisant le bilan de l'institution, le coordonnateur a noté que, bien que neuf domaines agricoles communautaires aient été établis, seuls deux fonctionnent réellement. Il a également souligné l'absence d'unités autonomes d'exploitation et de groupements d'entrepreneurs agricoles.
De son côté, le Président du Conseil de surveillance a insisté sur l'importance de cette étape pour s'assurer que les orientations prises répondent aux défis du développement rural et de l'insertion des jeunes dans le secteur agricole.
Actuellement, un changement de paradigme est nécessaire pour permettre au Prodac d'engager une nouvelle direction. M. Ngom a précisé que le document d’orientation stratégique et opérationnelle à l'horizon 2029 repose sur trois piliers : fournir des infrastructures de qualité et en quantité suffisante, renforcer les capacités techniques, financières et matérielles des acteurs, et améliorer le mode d’intervention du programme avec une nouvelle stratégie.
Le Prodac, dont le domaine phare est Sefa, dans la région de Sédhiou, s'engage à lutter contre la précarité dans ses zones d'intervention. L’objectif est de faire du Prodac "un pilier essentiel de la transformation de l'agriculture sénégalaise et de la lutte pour l'autonomie alimentaire", comme l'a exprimé M. Samb.
En faisant le bilan de l'institution, le coordonnateur a noté que, bien que neuf domaines agricoles communautaires aient été établis, seuls deux fonctionnent réellement. Il a également souligné l'absence d'unités autonomes d'exploitation et de groupements d'entrepreneurs agricoles.
De son côté, le Président du Conseil de surveillance a insisté sur l'importance de cette étape pour s'assurer que les orientations prises répondent aux défis du développement rural et de l'insertion des jeunes dans le secteur agricole.
Actuellement, un changement de paradigme est nécessaire pour permettre au Prodac d'engager une nouvelle direction. M. Ngom a précisé que le document d’orientation stratégique et opérationnelle à l'horizon 2029 repose sur trois piliers : fournir des infrastructures de qualité et en quantité suffisante, renforcer les capacités techniques, financières et matérielles des acteurs, et améliorer le mode d’intervention du programme avec une nouvelle stratégie.
Le Prodac, dont le domaine phare est Sefa, dans la région de Sédhiou, s'engage à lutter contre la précarité dans ses zones d'intervention. L’objectif est de faire du Prodac "un pilier essentiel de la transformation de l'agriculture sénégalaise et de la lutte pour l'autonomie alimentaire", comme l'a exprimé M. Samb.