La gendarmerie qui a interpellé 873 personnes le samedi 5 juin, au cours d'une vaste opération de sécurisation, a remis ça. Intervenant toujours dans le même secteur (ancienne piste-pont du Vdn Mermoz), les hommes en bleu sont encore tombés sur une dame séquestrée depuis 8 ans.
En pleine opération à Ouakam, vers 23 h, ils ont entendu un bruit provenant d'un taudis. Et c'est par là qu'ils défoncé les deux cadenas et trouvé une dame à l'intérieur, crasseuse, dans un état lamentable, qui n'avait pas pris de douche depuis des mois, décrit "L'As" dans son édition de ce lundi. La victime mangeait, dormait et faisait ses besoins sur place. Conduite au niveau de la brigade, la dame Khady Niang ne jouit plus de toutes ses facultés mentales, d'après le récit du journal.
A cause de ses problèmes psychiques, elle fuguait souvent du domicile conjugal sis à Pikine et c'est ainsi qu'en 2013, elle s'est retrouvée errant dans les rues de Ouakam. Amadou Camara lui a proposé de l'héberger, elle a accepté sans arrière-pensée.
Depuis lors, il ne l'a plus laissé sortir. La considérant comme sa "chose", il l'enfermalt, avec deux cadenas quand il sortait. Arrêté et placé en garde à vue, Amadou Camara a soutenu que Kbady dite Mbène Niang est sa femme. Alertée, l'association contre les violences faites aux femmes ainsi que d'autres organisations de défense des droits de l'homme et des personnes vivant avec une déficience mentale, ont lancé un appel à la famille de la dame dans les réseaux sociaux.
Elle n'a pas tardé à réagir dans la journée d'hier-dimanche des proches de Mbène Niang se sont présentés à la brigade de Ouakam. Parmi eux, figurait le vrai mari de, Mbène Niang, O.Ndiaye, électricien, qui fait le déplacement avec leurs photos de mariage. Il était ému aux larmes. Les parents de la dame ont démenti la version «faux mari» et ont déclaré n'avoir jamais donné la mai de leur enfant à A. Camara. En garde à vue à la gendarmerie de Ouakam, le faux mari sera déféré devant le Procureur dans les prochaines heures pour séquestration, non assistance à une personne en danger et mise en danger d'autrui.
En pleine opération à Ouakam, vers 23 h, ils ont entendu un bruit provenant d'un taudis. Et c'est par là qu'ils défoncé les deux cadenas et trouvé une dame à l'intérieur, crasseuse, dans un état lamentable, qui n'avait pas pris de douche depuis des mois, décrit "L'As" dans son édition de ce lundi. La victime mangeait, dormait et faisait ses besoins sur place. Conduite au niveau de la brigade, la dame Khady Niang ne jouit plus de toutes ses facultés mentales, d'après le récit du journal.
A cause de ses problèmes psychiques, elle fuguait souvent du domicile conjugal sis à Pikine et c'est ainsi qu'en 2013, elle s'est retrouvée errant dans les rues de Ouakam. Amadou Camara lui a proposé de l'héberger, elle a accepté sans arrière-pensée.
Depuis lors, il ne l'a plus laissé sortir. La considérant comme sa "chose", il l'enfermalt, avec deux cadenas quand il sortait. Arrêté et placé en garde à vue, Amadou Camara a soutenu que Kbady dite Mbène Niang est sa femme. Alertée, l'association contre les violences faites aux femmes ainsi que d'autres organisations de défense des droits de l'homme et des personnes vivant avec une déficience mentale, ont lancé un appel à la famille de la dame dans les réseaux sociaux.
Elle n'a pas tardé à réagir dans la journée d'hier-dimanche des proches de Mbène Niang se sont présentés à la brigade de Ouakam. Parmi eux, figurait le vrai mari de, Mbène Niang, O.Ndiaye, électricien, qui fait le déplacement avec leurs photos de mariage. Il était ému aux larmes. Les parents de la dame ont démenti la version «faux mari» et ont déclaré n'avoir jamais donné la mai de leur enfant à A. Camara. En garde à vue à la gendarmerie de Ouakam, le faux mari sera déféré devant le Procureur dans les prochaines heures pour séquestration, non assistance à une personne en danger et mise en danger d'autrui.