Le Premier ministre et tête de liste nationale de Pastef pour les législatives du 17 novembre, Ousmane Sonko, a tenu un rassemblement ce mardi au rond-point de l'École normale supérieure de Dakar, où il a déclaré les attaques subies par son parti et interpelle le Président Bassirou Diomaye Faye.
« Depuis six mois, j'alerte mon chef dans l'État (Président Bassirou Diomaye Faye), sur le manque de fermeté face à ces violences. Si j'étais seul concerné, j'aurais réglé ce problème depuis longtemps. Nous détenons le pouvoir, les forces armées et l'administration, mais nous ne recourrons pas à nos prérogatives pour attaquer nos adversaires. Nous avons choisi de rester au-dessus de la mêlée. Cette inaction alimente l'impunité », a déclaré Sonko.
Il a également exhorté le ministre de l'Intérieur à mobiliser les forces d'interposition et d'anticipation pour prévenir les violences. « Nous avons une force de frappe à travers la jeunesse sénégalaise et la population. Malgré cette force, nous n'avons pas riposté, alors même que nous subissons toutes sortes d'attaques », a-t-il rappelé.
La tête de liste nationale de Pastef d’ajouter : « J'ai été informé qu'au moment de leur interpellation lundi, certains avaient en leur possession des bombes asphyxiantes, des tasers, des couteaux et des lance-pierres, cachés dans des véhicules de la caravane. J'ai moi-même contacté le ministre des Forces armées pour demander le retrait des forces de sécurité, afin que mes militants et moi puissent mener la campagne sans ces protections d'État. Je parle en tant que leader de Pastef et tête de liste nationale. »
Le Premier ministre s'est montré rassurant quant à la tenue des législatives du 17 novembre 2024. Il indique qu'elles se dérouleront comme prévu.
« Certains parlent d'un éventuel rapport des élections, mais je leur assure que le scrutin aura bien lieu dimanche. Les Sénégalais se mobilisent pour voter, et nous remporterons cette élection. Personne ne peut empêcher sa tenue », a affirmé Ousmane Sonko.
« Depuis six mois, j'alerte mon chef dans l'État (Président Bassirou Diomaye Faye), sur le manque de fermeté face à ces violences. Si j'étais seul concerné, j'aurais réglé ce problème depuis longtemps. Nous détenons le pouvoir, les forces armées et l'administration, mais nous ne recourrons pas à nos prérogatives pour attaquer nos adversaires. Nous avons choisi de rester au-dessus de la mêlée. Cette inaction alimente l'impunité », a déclaré Sonko.
Il a également exhorté le ministre de l'Intérieur à mobiliser les forces d'interposition et d'anticipation pour prévenir les violences. « Nous avons une force de frappe à travers la jeunesse sénégalaise et la population. Malgré cette force, nous n'avons pas riposté, alors même que nous subissons toutes sortes d'attaques », a-t-il rappelé.
La tête de liste nationale de Pastef d’ajouter : « J'ai été informé qu'au moment de leur interpellation lundi, certains avaient en leur possession des bombes asphyxiantes, des tasers, des couteaux et des lance-pierres, cachés dans des véhicules de la caravane. J'ai moi-même contacté le ministre des Forces armées pour demander le retrait des forces de sécurité, afin que mes militants et moi puissent mener la campagne sans ces protections d'État. Je parle en tant que leader de Pastef et tête de liste nationale. »
Le Premier ministre s'est montré rassurant quant à la tenue des législatives du 17 novembre 2024. Il indique qu'elles se dérouleront comme prévu.
« Certains parlent d'un éventuel rapport des élections, mais je leur assure que le scrutin aura bien lieu dimanche. Les Sénégalais se mobilisent pour voter, et nous remporterons cette élection. Personne ne peut empêcher sa tenue », a affirmé Ousmane Sonko.
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