La Cour suprême rouvre le dossier relatif à la radiation de Ousmane Sonko de la Fonction publique ce jeudi 12 décembre 2019.
Ousmane Sonko, le leader du parti "Pastef les patriotes" qui a longtemps contesté sa radiation de la Fonction publique, peut enfin défendre ses arguments devant la Chambre administrative de la Cour suprême. La haute juridiction a enrôlé le recours introductif introduit par le Syndicat des Impôts, suite à la radiation de Ousmane Sonko, il y a trois ans.
Pour rappel, l’inspecteur des Impôts et des Domaines principal, Ousmane Sonko a été révoqué de l’administration sénégalaise, par décret présidentiel numéro 22016-1239 pris le 26 août 2016. Le leader de Pastef qui conserve ses droits à la pension à la retraite, a été radié « pour manquement à l’obligation de discrétion professionnelle ». Un argument contesté à l’époque par le concerné qui a intégré l’Ordre des experts fiscaux du Sénégal, le 26 juin 2019. Car, pour le parlementaire, cette décision a été prise à cause de ses révélations sur « les fraudes fiscales » à l’Assemblée nationale et sur « les accusations de magouilles » sur le pétrole et le gaz, portées contre le ministre de l'Intérieur Aly Ngouille Ndiaye et le frère du Président Aliou Sall.
Ousmane Sonko, le leader du parti "Pastef les patriotes" qui a longtemps contesté sa radiation de la Fonction publique, peut enfin défendre ses arguments devant la Chambre administrative de la Cour suprême. La haute juridiction a enrôlé le recours introductif introduit par le Syndicat des Impôts, suite à la radiation de Ousmane Sonko, il y a trois ans.
Pour rappel, l’inspecteur des Impôts et des Domaines principal, Ousmane Sonko a été révoqué de l’administration sénégalaise, par décret présidentiel numéro 22016-1239 pris le 26 août 2016. Le leader de Pastef qui conserve ses droits à la pension à la retraite, a été radié « pour manquement à l’obligation de discrétion professionnelle ». Un argument contesté à l’époque par le concerné qui a intégré l’Ordre des experts fiscaux du Sénégal, le 26 juin 2019. Car, pour le parlementaire, cette décision a été prise à cause de ses révélations sur « les fraudes fiscales » à l’Assemblée nationale et sur « les accusations de magouilles » sur le pétrole et le gaz, portées contre le ministre de l'Intérieur Aly Ngouille Ndiaye et le frère du Président Aliou Sall.
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