Ousmane Sonko le leader du Pastef a, ce mercredi, lors de sa conférence de presse, tiré sur l’opposition qui s’est rendue au Palais pour répondre à l’appel au dialogue du chef de l’Etat Macky Sall, sous la bannière du Frn. Il a parlé de « la duplicité d’une certaine opposition, et même de l’incohérence de cette opposition ».
Pour lui, « on ne peut pas avoir crié après les élections, pour dire que nous ne reconnaissons pas, et être les premiers à se bousculer, aller dire M. le Président ici, M. le Président là-bas. Ils sont tous pressés de serrer la main du Président ».
« Nous respectons la liberté de chaque organisation politique dans l’opposition, de ses choix. Mais aller au dialogue, soyons clairs, c’est être en collision avec Macky Sall ou à une forme de ralliement. Celui qui se dit élu à l’élection présidentielle de février 2019 est supposé l’être suite au programme politique proposé au Sénégalais. Dans un Etat de droit, après les élections, il n’y a que deux camps politiques, ceux qui gouvernent et ceux qui s’opposent. Après, il y a la Société civile, les citoyens. Mais politiquement, il y a deux camps », tonne Ousmane Sonko.
Poursuivant, il ajoute : « On ne peut pas avoir de camp hybride. Il faut que ce soit très clair. Et chacun maintenant doit faire son choix. On s’oppose ou on est avec Macky Sall. Mais je ne suis pas ici, je ne suis pas là-bas, ça s'est essayé de tromper le peuple ».
Pour lui, « on ne peut pas avoir crié après les élections, pour dire que nous ne reconnaissons pas, et être les premiers à se bousculer, aller dire M. le Président ici, M. le Président là-bas. Ils sont tous pressés de serrer la main du Président ».
« Nous respectons la liberté de chaque organisation politique dans l’opposition, de ses choix. Mais aller au dialogue, soyons clairs, c’est être en collision avec Macky Sall ou à une forme de ralliement. Celui qui se dit élu à l’élection présidentielle de février 2019 est supposé l’être suite au programme politique proposé au Sénégalais. Dans un Etat de droit, après les élections, il n’y a que deux camps politiques, ceux qui gouvernent et ceux qui s’opposent. Après, il y a la Société civile, les citoyens. Mais politiquement, il y a deux camps », tonne Ousmane Sonko.
Poursuivant, il ajoute : « On ne peut pas avoir de camp hybride. Il faut que ce soit très clair. Et chacun maintenant doit faire son choix. On s’oppose ou on est avec Macky Sall. Mais je ne suis pas ici, je ne suis pas là-bas, ça s'est essayé de tromper le peuple ».
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