Ousmane Tanor Dieng a salué la « dignité » de Malick Noël Seck dont il dit « être fier ».
Selon le concerné, il n’est pas fautif et n’a jamais demandé la grâce de qui conque. « Je n’ai pas été demandeur d’une grâce. Je n’ai non plus le sentiment d’être libre, car le peuple sénégalais n’est pas libre, les institutions ne sont pas libres. Cette histoire a démasqué Abdoulaye Wade, sa police, ses juges et je considère que personne n’est libre, ni la justice, ni la police, ni les instituions », a-t-il déclaré, mercredi, à sa sortie du Camp pénal de Liberté VI.
« Ce qui nous donne raison dans le combat que nous menons et nous allons continuer à le mener », a dit le leader de la Convergence solcialiste qui doit rejoindre sa famille qu’il n’a pas vue depuis 93 jours.
« Je ne suis redevable qu’à Dieu, à ma famille, à mes amis et au peuple sénégalais (...) En libérant le peuple, nous libérons Barthélémy Dias (en détention préventive pour homicide volontaire, entre autres) », a-t-il ajouté sur les ondes de la RFM (Une radio privée de la place.
Un de ses avocats s’est dit satisfait que Malick Noël Seck « puisse retrouver sa famille, ses amis et ses camarades aujourd’hui, surtout son jeune bébé et son épouse qui ont attendu trois mois (…) alors que nous estimions qu’il ne devrait pas passer un jour en prison », selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Nous sommes satisfaits parce qu’il ne méritait pas d’aller en prison (…) Malick Noël Seck nous a toujours dit qu’il n’avait jamais demandé une grâce au président de la République et qu’il ne la demanderait jamais », soutient Me Moustapha Mbaye.
Selon lui, le leader de Convergence socialiste ne « devrait pas être en prison pour avoir exprimé ses opinions », avant de réitérer que son client « n’a jamais demandé une grâce, mais plutôt il était un demandeur de bonne justice » poursuit Me Mbaye.
Dans l’autre camp, le son de cloche n’est pas la même. Pour sa part, le porte-parole de la présidence de la République, Serigne Mbacké Ndiaye a salué cette grâce comme une mesure qui « va renforcer la paix sociale dans ce pays », avant d’ajouter que « ce pays nous appartient à nous tous, nous avons l’obligation d’œuvrer ensemble pour qu’il y ait la paix et à tous les niveaux dans le pays ».
Selon le concerné, il n’est pas fautif et n’a jamais demandé la grâce de qui conque. « Je n’ai pas été demandeur d’une grâce. Je n’ai non plus le sentiment d’être libre, car le peuple sénégalais n’est pas libre, les institutions ne sont pas libres. Cette histoire a démasqué Abdoulaye Wade, sa police, ses juges et je considère que personne n’est libre, ni la justice, ni la police, ni les instituions », a-t-il déclaré, mercredi, à sa sortie du Camp pénal de Liberté VI.
« Ce qui nous donne raison dans le combat que nous menons et nous allons continuer à le mener », a dit le leader de la Convergence solcialiste qui doit rejoindre sa famille qu’il n’a pas vue depuis 93 jours.
« Je ne suis redevable qu’à Dieu, à ma famille, à mes amis et au peuple sénégalais (...) En libérant le peuple, nous libérons Barthélémy Dias (en détention préventive pour homicide volontaire, entre autres) », a-t-il ajouté sur les ondes de la RFM (Une radio privée de la place.
Un de ses avocats s’est dit satisfait que Malick Noël Seck « puisse retrouver sa famille, ses amis et ses camarades aujourd’hui, surtout son jeune bébé et son épouse qui ont attendu trois mois (…) alors que nous estimions qu’il ne devrait pas passer un jour en prison », selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Nous sommes satisfaits parce qu’il ne méritait pas d’aller en prison (…) Malick Noël Seck nous a toujours dit qu’il n’avait jamais demandé une grâce au président de la République et qu’il ne la demanderait jamais », soutient Me Moustapha Mbaye.
Selon lui, le leader de Convergence socialiste ne « devrait pas être en prison pour avoir exprimé ses opinions », avant de réitérer que son client « n’a jamais demandé une grâce, mais plutôt il était un demandeur de bonne justice » poursuit Me Mbaye.
Dans l’autre camp, le son de cloche n’est pas la même. Pour sa part, le porte-parole de la présidence de la République, Serigne Mbacké Ndiaye a salué cette grâce comme une mesure qui « va renforcer la paix sociale dans ce pays », avant d’ajouter que « ce pays nous appartient à nous tous, nous avons l’obligation d’œuvrer ensemble pour qu’il y ait la paix et à tous les niveaux dans le pays ».
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