
La dernière sortie d’Abdoulaye Wade a fini par faire sortir Ousmane Tanor Dieng de sa réserve. En effet, jugeant « inacceptables » les assauts de Wade à l’encontre du régime de Macky Sall, « il se moque des sénégalais », s’est indigné Ousmane Tanor Dieng car, « il a fait ce qu’il reproche au régime. A la veille de la campagne des législatives, j’ai passé plus de 10 heures à la Division des Investigations Criminelles (DIC). J’étais ministre d’Etat et cela n’a pas fait de bruit », a-t-il rappelé en guise d’illustration.
Par ailleurs, par rapport au bénéfice de juridiction dont fait allusion le secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) concernant les convocations de ses partisans, « ceux qui doivent en bénéficier sont ceux qui sont en exercice. Une fois que vous n’êtes plus en exercice, vous êtes comme un citoyen normal et on doit pouvoir vous interroger », a servi le leader socialiste comme réplique. Toutefois, même s’il semble être en accord avec Abdoulaye Wade quand ce dernier évoque l’ « élégance républicaine » du point de vue de la procédure, ce serait néanmoins « pousser le boucher trop loin en voulant ne pas être interrogé comme si on était au-dessus de la loi », recadre le responsable de Benno Bokk Yaakaar.
En ce qui concerne, la perturbation des élections législatives dont menace Abdoulaye Wade pour le recouvrement des véhicules saisis, « Wade connait bien l’Etat et sait ce qui est la force de l’Etat », précise Ousmane Tanor Dieng, persuadé que l’ancien chef de l’Etat ne peut pas perturber les élections.
Par ailleurs, par rapport au bénéfice de juridiction dont fait allusion le secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) concernant les convocations de ses partisans, « ceux qui doivent en bénéficier sont ceux qui sont en exercice. Une fois que vous n’êtes plus en exercice, vous êtes comme un citoyen normal et on doit pouvoir vous interroger », a servi le leader socialiste comme réplique. Toutefois, même s’il semble être en accord avec Abdoulaye Wade quand ce dernier évoque l’ « élégance républicaine » du point de vue de la procédure, ce serait néanmoins « pousser le boucher trop loin en voulant ne pas être interrogé comme si on était au-dessus de la loi », recadre le responsable de Benno Bokk Yaakaar.
En ce qui concerne, la perturbation des élections législatives dont menace Abdoulaye Wade pour le recouvrement des véhicules saisis, « Wade connait bien l’Etat et sait ce qui est la force de l’Etat », précise Ousmane Tanor Dieng, persuadé que l’ancien chef de l’Etat ne peut pas perturber les élections.
Autres articles
-
1er mai : le SG du SYNPICS dénonce les injustices subies par la presse et appelle à la valorisation des journalistes et techniciens des médias
-
1er mai : les centrales syndicales présentent leurs revendications au Président Diomaye Faye
-
1er mai : les employés de Panapresse dénoncent l’inaction face à une crise qui perdure
-
1er mai : l’APR dénonce « la précarisation des travailleurs » et fustige la gouvernance actuelle
-
Fête du Travail : « le Gouvernement répondra avec rigueur et responsabilité aux engagements qu’il a souscrit », Pr Diomaye