Le Comité de Pilotage du Programme d’Appui aux Initiatives de Solidarité pour le Développement (PAISD) a annoncé que «40 nouveaux projets d’appui au développement local seront financés et 9 centres multimédias construits dans les régions de Diourbel, Matam, Tambacounda, Kaffrine, Sédhiou, Ziguinchor, Kolda, Bakel et Kédougou. En conférence de presse ce mardi 21 décembre 2010, le comité a indiqué que «l’année 2011 augure de belles perspectives outre, la mise en chantier prochaine au courant du premier trimestres de 14 nouvelles infrastructures sociales de base dans les départements de Saraya, Goudiry, Kanel, Podor, Matam et Kébémer».
Dans une dynamique de mieux rentabiliser les investissements des migrants en direction de leur région d’origine, le PAISD, qui a pour objectif d’appuyer les initiatives des ressortissants sénégalais établis en France au profit du développement économique et social du Sénégal, compte développer des stratégies en vue d’orienter davantage les associations vers des investissements productifs à caractère collectifs.
Entre 2009 et 2010, nous dit-on, 56 projets de développement à caractère collectifs portés par les associations de migrants ont été financés dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, l’hydraulique et l’agriculture portant ainsi à 101 le nombre de projets financés par le programme depuis 2005. Les régions de Matam, Tambacounda, Kédougou, Ziguinchor, Diourbel, Louga et Saint Louis en sont les principaux bénéficiaires.
Le PAISD aura également facilité, dans le cadre de l’accompagnement des initiatives économique et privées, la réalisation des projets économiques de 51 promoteurs.
En prélude à la conférence de presse, une rencontre annuelle réunissant les représentants de la partie sénégalaise et française a été organisée. Elle avait pour but de faire le bilan des réalisations, de dessiner les perspectives pour 2011 et d’arrêter les grandes orientations quant à la mise en œuvre du programme.
Le 26 janvier 2009, le gouvernement du Sénégal et celui de la France ont signé une convention de financement pour la mise en œuvre du programme d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement pour un montant de 6 Milliards de FCFA (9 Millions d’euros) sur 3 ans (2009-2011).
Dans une dynamique de mieux rentabiliser les investissements des migrants en direction de leur région d’origine, le PAISD, qui a pour objectif d’appuyer les initiatives des ressortissants sénégalais établis en France au profit du développement économique et social du Sénégal, compte développer des stratégies en vue d’orienter davantage les associations vers des investissements productifs à caractère collectifs.
Entre 2009 et 2010, nous dit-on, 56 projets de développement à caractère collectifs portés par les associations de migrants ont été financés dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, l’hydraulique et l’agriculture portant ainsi à 101 le nombre de projets financés par le programme depuis 2005. Les régions de Matam, Tambacounda, Kédougou, Ziguinchor, Diourbel, Louga et Saint Louis en sont les principaux bénéficiaires.
Le PAISD aura également facilité, dans le cadre de l’accompagnement des initiatives économique et privées, la réalisation des projets économiques de 51 promoteurs.
En prélude à la conférence de presse, une rencontre annuelle réunissant les représentants de la partie sénégalaise et française a été organisée. Elle avait pour but de faire le bilan des réalisations, de dessiner les perspectives pour 2011 et d’arrêter les grandes orientations quant à la mise en œuvre du programme.
Le 26 janvier 2009, le gouvernement du Sénégal et celui de la France ont signé une convention de financement pour la mise en œuvre du programme d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement pour un montant de 6 Milliards de FCFA (9 Millions d’euros) sur 3 ans (2009-2011).