«Il y a une crise scolaire parce que l’Etat n’a pas respecté ses engagements vis-à-vis des enseignants. La principale revendication des enseignants est l’indemnité de logement. Un enseignant travaille à l’école et à la maison. Et le travail qu’il fait à la maison est plus important que celui qu’il fait en classe. Donc, lorsqu’un enseignant n’a pas un endroit avec toutes les commodités qu’il faut, il ne peut s’épanouir pour effectuer convenablement son travail », martèle Pape Samba Mboup qui s’attaque à la décision du président Sall d’envoyer un contingent de 2100 hommes aux côtés de l’Arabie saoudite. «Je dirai tout de suite : Monsieur le président, de grâce ne nous exposez pas».
Ce, d’autant plus, crache-t-il : «cette guerre ne nous concerne pas » et « nous sommes menacés » par les «terroristes qui sont dans le désert du Sahara, au Mali et même peut-être dans le maquis». «Avant d’aller en Arabie saoudite, il faut d’abord balayer devant nos portes, le président Sall est en train de nous exposer, de dégarnir notre pays de ses défenseurs. 2100 militaires, c’est excessif», crache ce dernier qui est d’avis que ces 2100 soldats auraient pu régler depuis longtemps le conflit en Casamance si le président Sall les avait envoyés là-bas.
Le responsable libéral se prononce dès lors sur la succession à la tête du PDS. Selon lui, le débat n’est pas à l’ordre du jour. «Le secrétaire général est toujours là et dirige parfaitement le parti. Les gens qui s’agitent doivent donc revenir à la raison, un parti ne se donne pas et le moment venu le congrès choisira ». Mais le constat est là pour Pape Samba Mboup : «le PDS a besoin d’Abdoulaye Wade qui est le ciment du parti. Le jour où il partira, le parti sera en lambeaux ». Ainsi, ferme-t-il dans «l’As» : «Le seul débat qui vaille, c’est d’aller aux élections et de les gagner».
Ce, d’autant plus, crache-t-il : «cette guerre ne nous concerne pas » et « nous sommes menacés » par les «terroristes qui sont dans le désert du Sahara, au Mali et même peut-être dans le maquis». «Avant d’aller en Arabie saoudite, il faut d’abord balayer devant nos portes, le président Sall est en train de nous exposer, de dégarnir notre pays de ses défenseurs. 2100 militaires, c’est excessif», crache ce dernier qui est d’avis que ces 2100 soldats auraient pu régler depuis longtemps le conflit en Casamance si le président Sall les avait envoyés là-bas.
Le responsable libéral se prononce dès lors sur la succession à la tête du PDS. Selon lui, le débat n’est pas à l’ordre du jour. «Le secrétaire général est toujours là et dirige parfaitement le parti. Les gens qui s’agitent doivent donc revenir à la raison, un parti ne se donne pas et le moment venu le congrès choisira ». Mais le constat est là pour Pape Samba Mboup : «le PDS a besoin d’Abdoulaye Wade qui est le ciment du parti. Le jour où il partira, le parti sera en lambeaux ». Ainsi, ferme-t-il dans «l’As» : «Le seul débat qui vaille, c’est d’aller aux élections et de les gagner».
Autres articles
-
Amadou Ba critique la gestion des inondations à Bakel : « 8 milliards, c'est insuffisant pour gérer cette situation »
-
Campagne électorale : Ousmane Sonko promet l'industrialisation de Kaffrine et le développement agricole
-
Pastef Nioro du RIP alerte sur un potentiel sabotage de la caravane d'Ousmane Sonko
-
🛑DIRECT : 60mn Pour Convaincre avec la coalition TAKKU WALLU SÉNÉGAL
-
Goudiry : Amadou Ba invite Sonko à des séances de travaux pratiques à la place d’un débat